- cleindoAncien⋅ne
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Date d'inscription : 20/01/2012
brutalisation médicale
29.07.14 16:15
J'ai trouvé quelques articles, blogs et liens intéressants, j'ai pas tout lu (et de loin) mais je vous les mets ici...
"brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne"
http://www.rolandsimion.org/IMG/pdf/Brutalisation_du_corps_feminin.pdf
http://martinwinckler.com/article.php3?id_article=987&var_recherche=%E9pisiotomie
"brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne"
http://www.rolandsimion.org/IMG/pdf/Brutalisation_du_corps_feminin.pdf
http://martinwinckler.com/article.php3?id_article=987&var_recherche=%E9pisiotomie
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 17:10
Merci, très intéressant.
Ces deux là m'ont fait mal au ventre ...
s’il est normal qu’on leur impose un délai de plusieurs semaines entre le moment où on retire un DIU et celui où on leur en pose un autre ?Non, ça ne l’est pas : il n’est jamais urgent de retirer un DIU (certains peuvent être laissés en place 10 ans ! ! !) et on peut procéder à la substitution en une fois, sans délai. A La femme qui m’a posé cette question avait demandé une contraception de transition à son gynécologue, qui a refusé de lui en prescrire une et lui a répondu « Vous pouvez bien vous abstenir en attendant le prochain rendez-vous ». A la suite d’un échec de préservatif, elle s’est retrouvée enceinte et a dû recourir à une IVG. Le gynécologue, va bien, merci et sévit toujours.
s’il est normal, lorsqu’une femme de 35 ans demande une contraception, qu’on lui réponde « qu’il serait temps, à son âge, qu’elle ait enfants ! » et si, quand elle repond ne pas en vouloir encore, qu’on cherche à la culpabiliser en lui disant que lorsqu’elle « sera stérile elle ne vienne pas pleurer pour qu’on lui en fasse un » ?Non, ça ne l’est pas. L’âge auquel une femme décide d’avoir des enfants ne regarde qu’elle et son compagnon. Le médecin n’est pas là pour lui donner des leçons de vie. Il est là pour l’aider à la vivre au mieux, comme elle l’entend. Et une femme peut avoir des enfants jusqu’à l’âge de la ménopause. C’est son droit et les médecins n’ont pas de jugement à porter sur ce point.
Ces deux là m'ont fait mal au ventre ...
- BreizhmelBleu⋅e
- Messages : 106
Date d'inscription : 30/08/2012
Re: brutalisation médicale
29.07.14 19:16
Ah, Martin Winckler ! Un fantastique médecin féministe !
D'ailleurs je ne le remercierais jamais assez, car c'est grace à lui que j'ai pu me battre pour avoir un stérilet.
D'ailleurs je ne le remercierais jamais assez, car c'est grace à lui que j'ai pu me battre pour avoir un stérilet.
- AraignéeAncien⋅ne
- Messages : 4550
Date d'inscription : 02/09/2012
Re: brutalisation médicale
29.07.14 19:31
Ah ben ça, ça fait plaisir à lire. Combien de fois on m'a fait entendre que ma mère était totalement folle et irresponsable de ne pas m'avoir emmenée chez le gynéco dès mon adolescence...l’examen gynécologique en dehors de tout symptôme ni obligatoire, ni même utile d’un point de vue médical.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 20:38
Breizhmel a écrit:Ah, Martin Winckler ! Un fantastique médecin féministe !
D'ailleurs je ne le remercierais jamais assez, car c'est grace à lui que j'ai pu me battre pour avoir un stérilet.
Pareil
Après avoir lu "le choeur des femmes" j'ai décidé d'aller voir une sage-femme pour poser le DIU.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 22:17
J'apprécie son travail. Dans un de ses articles, il explique qu'on peut poser un DIU sans faire mal à la patiente, c'est à cette occasion que j'ai appris ce qu'est une pince de Pozzi et jamais, oh grand jamais, un-e gynéco n'approchera ma vulve avec ce truc (ça ressemble à une paire de ciseaux avec crochets quand même), il disait qu'on pouvait se passer de cet instrument.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 22:27
Drärk a écrit:J'apprécie son travail. Dans un de ses articles, il explique qu'on peut poser un DIU sans faire mal à la patiente, c'est à cette occasion que j'ai appris ce qu'est une pince de Pozzi et jamais, oh grand jamais, un-e gynéco n'approchera ma vulve avec ce truc (ça ressemble à une paire de ciseaux avec crochets quand même), il disait qu'on pouvait se passer de cet instrument.
On peut s'en passer mais pas forcément.
J'ai vu une excellente sage-femme en région Parisienne, en relation avec Winckler, qui applique ses méthodes (informer réellement sur ce qui est possible ou non, mettre une couverture sur mes jambes pour ne pas que je me sente nue sur la table, très à l'écoute). A chaque fois qu'elle allait faire quelque chose, elle me le disait avant ce qu'elle allait faire, et pourquoi, et ce que j'allais ressentir, et avant de le faire elle demandait "j'y vais ?".
1er rdv : j'apporte le DIU avec moi, elle me donne des comprimés homéopathiques déstressants et permettant une ouverture du col plus facile. Elle tente de poser le DIU sans succès. On attend un peu dans son cabinet que je déstresse en discutant. Elle réessaie, impossible. Elle me donne un autre rdv, en me demandant de prendre l'homéopathie pendant 5j avant le rdv.
2è rdv : toujours pas possible de poser le DIU. Là elle me montre un instrument en me disant "C'est une pince de Pozzi, je n'aime pas l'utiliser, car chez certaines personnes ça peut faire très mal. Vous me dites si vous acceptez que j'essaie. Si vous avez mal, j'arrête tout de suite".
J'ai dit ok car je voulais vraiment ce DIU, même si ce que j'avais lu sur la Pozzi dans "le choeur des femmes" me faisait flipper. Elle me demande de souffler un grand coup à son signal. Elle approche la pince, me fait son signal, je souffle un grand coup et je ressens comme si on m'avait pincée à l'intérieur. Douloureux, mais sans plus, et ça a duré 1/2 seconde. Elle me demande si je souffre. Je dis que "j'ai eu un petit pincement mais là non je ne sens plus rien". Elle est soulagée, me dit que la pozzi est en place et me met le DIU.
DIU posé, je n'ai rien senti à part un léger pincement.
Elle a vraiment tout tenté, chez moi la pozzi était inévitable ...
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 22:40
Ben je sais pas trop ce qu'il en est pour les autres, moi c'est ma médecin traitante qui m'a posé mon DIU, et elle a été géniale. Elle m'a donné aussi des cachets à prendre, et elle m'a expliqué que le DIU devait être posé pendant les règles, que ça facilitait la manœuvre.
Elle m'a bien expliqué les différents types de DIU, les différents cas où on les utilisait, les avantages et les inconvénients de chacun et on a choisi ensemble celui que j'allais avoir en fonction des impératifs médicaux (je fais de l'hyper tension).
Elle m'a dit aussi de ne pas me laver l'intérieur, et de ne pas me sentir gênée ou sale à cause des règles, que elle aussi elle était une femme et elle avait aussi ses règles, et que en tant que médecin, elle ne voyait que du sang, exactement comme quand on recoud un patient qui s'est ouvert, et que ce n'est pas sale. Elle m'a dit qu'elle mettait des gants par parce que j'étais sale, mais surtout pour ne pas mettre de microbes lors de la pause, pour ne pas risquer de m’infecter.
Elle m'a prévenue pour chaque geste. Elle avait des grandes pinces mais c'était pour tenir le stérilet au bout, je n'ai pas senti, j'étais juste un peu stressée et un peu " barbouillée du bide " pendant un ou 2 jours.
Elle me demande régulièrement si j'ai mal ou pas, si j'ai encore mes règles, etc ...
Elle m'a dit que je pouvais garder mon DIU longtemps, qu'on pouvait le remplacer quand il n'y aurait plus d'hormone (c'est ce qui évite les règles), mais que c'était pas urgent comparativement à la date de péremption indiquée sur le paquet. Elle a mis une alarme dans son ordi pour penser à faire l'examen dans 3 ans.
Depuis je ne sens rien. J'ai juste quelques difficultés d'ordre psychologiques à me dire que j'ai ce truc à l'intérieur, mais la plupart du temps, j'y pense pas.
Elle m'a bien expliqué les différents types de DIU, les différents cas où on les utilisait, les avantages et les inconvénients de chacun et on a choisi ensemble celui que j'allais avoir en fonction des impératifs médicaux (je fais de l'hyper tension).
Elle m'a dit aussi de ne pas me laver l'intérieur, et de ne pas me sentir gênée ou sale à cause des règles, que elle aussi elle était une femme et elle avait aussi ses règles, et que en tant que médecin, elle ne voyait que du sang, exactement comme quand on recoud un patient qui s'est ouvert, et que ce n'est pas sale. Elle m'a dit qu'elle mettait des gants par parce que j'étais sale, mais surtout pour ne pas mettre de microbes lors de la pause, pour ne pas risquer de m’infecter.
Elle m'a prévenue pour chaque geste. Elle avait des grandes pinces mais c'était pour tenir le stérilet au bout, je n'ai pas senti, j'étais juste un peu stressée et un peu " barbouillée du bide " pendant un ou 2 jours.
Elle me demande régulièrement si j'ai mal ou pas, si j'ai encore mes règles, etc ...
Elle m'a dit que je pouvais garder mon DIU longtemps, qu'on pouvait le remplacer quand il n'y aurait plus d'hormone (c'est ce qui évite les règles), mais que c'était pas urgent comparativement à la date de péremption indiquée sur le paquet. Elle a mis une alarme dans son ordi pour penser à faire l'examen dans 3 ans.
Depuis je ne sens rien. J'ai juste quelques difficultés d'ordre psychologiques à me dire que j'ai ce truc à l'intérieur, mais la plupart du temps, j'y pense pas.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 22:45
Elle l'a utilisée de façon humaine, je sais pas si je pourrais, j'ai trop peur à ce niveau du corps. Le fait de savoir que je vais avoir mal, mais que ce n'est pas moi qui vais faire le geste, même si la personne est vraiment prévenante, ça sent la crise d'angoisse ^^
Je devrais ptèt me tourner vers une SF en fait.
Tiens c'est intéressant ce que tu dis Shun, j'ai déjà lu des conseils comme quoi il faut venir hors périodes de règles, pour faciliter l'examen. J'ai surtout pris ça comme une sorte de rappel "vous êtes sales !".
Je devrais ptèt me tourner vers une SF en fait.
Tiens c'est intéressant ce que tu dis Shun, j'ai déjà lu des conseils comme quoi il faut venir hors périodes de règles, pour faciliter l'examen. J'ai surtout pris ça comme une sorte de rappel "vous êtes sales !".
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
29.07.14 22:52
Drärk a écrit:Elle l'a utilisée de façon humaine, je sais pas si je pourrais, j'ai trop peur à ce niveau du corps. Le fait de savoir que je vais avoir mal, mais que ce n'est pas moi qui vais faire le geste, même si la personne est vraiment prévenante, ça sent la crise d'angoisse ^^
Je devrais ptèt me tourner vers une SF en fait.
Tiens c'est intéressant ce que tu dis Shun, j'ai déjà lu des conseils comme quoi il faut venir hors périodes de règles, pour faciliter l'examen. J'ai surtout pris ça comme une sorte de rappel "vous êtes sales !".
Non non, comme le dit Shun, période de règles c'est plus facile.
Le 1er rdv était pendant mes règles.
- BreizhmelBleu⋅e
- Messages : 106
Date d'inscription : 30/08/2012
Re: brutalisation médicale
29.07.14 23:39
Wow, vous êtes tombés sur des médecins et SF géniaux ! ^^
Moi j'avais galéré à trouver un gynéco qui voulait bien me prescrire un DIU. A un moment j'en ai eu marre, j'ai insisté et insisté, me montrant catégorique : "non je ne veux plus de la pilule, je veux un stérilet". En bref, j'ai forcé la main au gynéco. Et il me l'a fait payé je crois bien... Je ne sais pas si il a un peu fait exprès mais j'ai eu extrêmement mal quand il me l'a mis. Et je crois bien que y'avait cette pince de Pozzi dont vous parler. Je me souviens que j'ai hurlé en m'accrochant à la table. J'en frissonne encore rien que de me rappeler ça. Pourtant je ne suis pas douillette.
Par contre je n'ai pas lu le bouquin de Martin Winckler, en fait j'étais tombé sur son site pendant mes recherches sur le DIU. Et son article comme quoi les femmes nullipares pouvaient aussi avoir un stérilet était tellement bien argumenté et fourni en référence que j'étais sûre de moi --> ce qui m'a donc donné de la pugnacité pour faire respecter mon choix. Sinon je me serais applatie devant le grand-docteur-tout-puissant-qui-sait-tout et je serais encore repartie sous pilule, ce qui aurait été catastrophique.
Ce Dr Winckler a véritablement aidé plein de femmes. Dommage qu'il soit si mal considéré et autant critiqué au sein de sa profession.
Moi j'avais galéré à trouver un gynéco qui voulait bien me prescrire un DIU. A un moment j'en ai eu marre, j'ai insisté et insisté, me montrant catégorique : "non je ne veux plus de la pilule, je veux un stérilet". En bref, j'ai forcé la main au gynéco. Et il me l'a fait payé je crois bien... Je ne sais pas si il a un peu fait exprès mais j'ai eu extrêmement mal quand il me l'a mis. Et je crois bien que y'avait cette pince de Pozzi dont vous parler. Je me souviens que j'ai hurlé en m'accrochant à la table. J'en frissonne encore rien que de me rappeler ça. Pourtant je ne suis pas douillette.
Par contre je n'ai pas lu le bouquin de Martin Winckler, en fait j'étais tombé sur son site pendant mes recherches sur le DIU. Et son article comme quoi les femmes nullipares pouvaient aussi avoir un stérilet était tellement bien argumenté et fourni en référence que j'étais sûre de moi --> ce qui m'a donc donné de la pugnacité pour faire respecter mon choix. Sinon je me serais applatie devant le grand-docteur-tout-puissant-qui-sait-tout et je serais encore repartie sous pilule, ce qui aurait été catastrophique.
Ce Dr Winckler a véritablement aidé plein de femmes. Dommage qu'il soit si mal considéré et autant critiqué au sein de sa profession.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
30.07.14 0:06
J'ignorais qu'il était mal considéré et critiqué tiens, tu as des articles qui en parle Breizhmel ?
- BreizhmelBleu⋅e
- Messages : 106
Date d'inscription : 30/08/2012
Re: brutalisation médicale
30.07.14 1:49
Disons qu'il en parle lui même au sein de plusieurs de ses articles. Mais je vais essayer de trouver des réactions de ses confrères. Il doit forcément en exister sur la toile. Histoire de ne pas balancer mon impression sans preuves quand même. ^^
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
30.07.14 2:02
Moi j'avais galéré à trouver un gynéco qui voulait bien me prescrire un DIU. A un moment j'en ai eu marre, j'ai insisté et insisté, me montrant catégorique : "non je ne veux plus de la pilule, je veux un stérilet". En bref, j'ai forcé la main au gynéco. Et il me l'a fait payé je crois bien...
En fait, j'ai galéré aussi ... je cherchais à tout prix un gynéco pour me stériliser à la base. Personne n'a voulu donc j'ai décidé de poser un DIU.
Le gynéco que j'ai été voir m'a tellement mal traitée que j'en reviens pas.
Il m'a infantilisée à mort, me disant qu'il était impossible que mon conjoint ne me trompe pas car "à 40 ans ils sont chauds chauds chauds" (je le cite), et que du coup, j'allais chopper une infection avec le DIU car à force de me tromper il allait m'apporter une saloperie et que c'était dangereux.
Il m'a dit pleins de choses horribles encore. A un moment je lui ai coupé la parole et je lui ai dit "Je vous remercie d'avoir fait votre travail en m'informant des risques que j'encourais en posant un DIU, mais maintenant que vous l'avez fait, JE décide en mon âme et conscience de poser tout de même un DIU. C'est mon conjoint, mes infections, rien de tout ceci ne vous regarde".
Et là il m'a dit "ok. Bon alors je dois vous prévenir que vous allez beaucoup souffrir, ça fait très très mal, certaines femmes tournent de l'oeil et je dois appeler les pompiers ... du coup, je vais vous donner un rdv pendant ma pause de midi, je ne veux pas appeler les pompiers pendant que le cabinet est plein".
Et moi :
Je ne suis pas allée au rdv. Et j'ai cherché sur internet pour trouver un bon gynéco, et là je suis tombée sur cet article et j'ai écris à la sage femme de "Madame ouille". Et c'est elle qui m'a donné le nom de la super sage femme que j'ai vue ensuite Parce qu'elle était trop loin de chez moi.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
30.07.14 9:46
T'ain bande de tarés de gynéco de @**/~& !!! C'est n'importe quoi !
Tout est bon pour avoir le pouvoir sur le corps des femmes. Y en a qui méritent vraiment pas d'avoir fait médecine.
Je confirme me concernant : ma toubib n'a pas utilisé de pince de pozzi, juste la grande pince qui tient le stérilet. Mais ça a peut-être à voir avec le fait que j'ai eu 2 enfants, et que l'ouverture du col a du être facilitée.
Par contre elle m'a confirmé qu'elle ne posait pas de DIU sur des " populations à risque ", c'est à dire des personnes (nullipart ou non) qui avaient de multiples relations sexuelles avec des partenaires différents sans protection, car c'était une porte d'entrée pour les infections (ce qui a été le cas pour ma petite cousine 15 ans au moment de la pose) qui a chopé des saloperies.
Tout est bon pour avoir le pouvoir sur le corps des femmes. Y en a qui méritent vraiment pas d'avoir fait médecine.
Je confirme me concernant : ma toubib n'a pas utilisé de pince de pozzi, juste la grande pince qui tient le stérilet. Mais ça a peut-être à voir avec le fait que j'ai eu 2 enfants, et que l'ouverture du col a du être facilitée.
Par contre elle m'a confirmé qu'elle ne posait pas de DIU sur des " populations à risque ", c'est à dire des personnes (nullipart ou non) qui avaient de multiples relations sexuelles avec des partenaires différents sans protection, car c'était une porte d'entrée pour les infections (ce qui a été le cas pour ma petite cousine 15 ans au moment de la pose) qui a chopé des saloperies.
- InvitéInvité
Re: brutalisation médicale
30.07.14 23:15
Je peux comprendre qu'une gynécologue avertissent des dangers des différents moyens contraceptifs. Parce que dire "ok, je vous mets un DIU" sans savoir quelle est la situation de la personne, si c'est pour qu'après la personne se tape plein de souci, ben c'est pas top
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