La vente du "viagra pour femmes"
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- InvitéInvité
Re: La vente du "viagra pour femmes"
21.08.15 20:59
Je connais deux personnes qui ont développé un alzheimer (un vers 65-70 ans, l'autre vers 50-55 ans). Pas d'X dans leur vie.AurélieKlein a écrit:Quand à l'extasy, j'ai des patients de 45 ans qui présentent des pathologie de type Alzheimer ... Leur point commun semble être qu'ils étaient de grand consommateur d'X...
- AurélieKleinBleu⋅e
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Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 0:22
Ben, j'en connais des douzaines: je m'en occupe !
Chez les plus jeunes, c'est l'un des points communs parmi les plus rependus.
Ca n'est pas prouvé. Il faudrait des années de recherche. C'est juste une piste sérieuse...
Chez les plus jeunes, c'est l'un des points communs parmi les plus rependus.
Ca n'est pas prouvé. Il faudrait des années de recherche. C'est juste une piste sérieuse...
- IridaceaAncien⋅ne
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Date d'inscription : 12/05/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 1:10
Il y a un truc qui me perturbe dans cette histoire de pilule pour femmes non-ménopausées.
La FDA a annoncé l'autorisation d'un médicament pour traiter la baisse de désir des femmes pré-ménopausées. Ce qui n'est pas la même chose du tout. Notamment parce que les variations hormonales conduisant à la ménopause doivent avoir un grand impact sur le désir sexuel (comme les variations au cours d'un cycle de menstruation peuvent influencer le désir, de façon variable selon la personne)(vous me corrigerez si je m'égare).
Du coup, je me demande en quoi ce médicament influencerait le désir de femmes (cis) loin de la ménopause, sachant de plus que ses effets n'ont été testés que sur des femmes pré-ménopausées.
La FDA a annoncé l'autorisation d'un médicament pour traiter la baisse de désir des femmes pré-ménopausées. Ce qui n'est pas la même chose du tout. Notamment parce que les variations hormonales conduisant à la ménopause doivent avoir un grand impact sur le désir sexuel (comme les variations au cours d'un cycle de menstruation peuvent influencer le désir, de façon variable selon la personne)(vous me corrigerez si je m'égare).
Du coup, je me demande en quoi ce médicament influencerait le désir de femmes (cis) loin de la ménopause, sachant de plus que ses effets n'ont été testés que sur des femmes pré-ménopausées.
- InvitéInvité
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 8:37
J'en suis encore à me demander pourquoi on nous refile un médoc pour faire du sexe, dans une société obsédée jusqu'à l'os par le sexe, hétéro évidemment.
A moins que la baisse de libido entraine une gêne/souffrance chez les femmes concernées, et encore, on fait comment pour mesurer réellement le pourcentage de femmes concernées ? Je veux dire, hors injonction au coït, hors pression sociale, hors contexte médical patriarcal, dans un contexte d'écoute sans jugement ?
Il tombe à combien le "40 %" ?
A moins que la baisse de libido entraine une gêne/souffrance chez les femmes concernées, et encore, on fait comment pour mesurer réellement le pourcentage de femmes concernées ? Je veux dire, hors injonction au coït, hors pression sociale, hors contexte médical patriarcal, dans un contexte d'écoute sans jugement ?
Il tombe à combien le "40 %" ?
- AraignéeAncien⋅ne
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Date d'inscription : 02/09/2012
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 13:30
Iridacea a écrit:Euh, dans ta citation @pierregr, ce qui m'étonne c'est ce passage :
La non-lubrication, la non-stimulation du point G (clitoris interne), c'est pas un obstacle à la pénétration ? La stimulation du gland du clito sans excitation préalable, c'est pas désagréable ?La femme n'a aucun obstacle sinon psychologique a mener à terme un rapport sexuel sans aucun désir ce qui leur permet d'être prostitutée. . Les femmes n'ont donc rien de mécanique à suppléer de ce côté là!
Je suis plutôt sur le même avis que la dame sur la petite pilule rose, mais on dirait qu'elle suggère (à l'instar d'un conservateur lambda) qu'une femme cis n'a qu'à ouvrir les jambes pour avoir un rapport, et que les seuls problèmes occasionnés sont psychologiques. C'est assez troublant.
Tiens, j'ai tiqué aussi sur cette phrase, j'ai pensé "elle connaît pas le vaginisme la madame !!" (même si on peut se prostituer avec un vaginisme - je l'ai fait, j'ai eu très mal, et je ne pouvais faire qu'une passe tous les deux jours... Ceci dit, l'argument de la prostitution, euh... les hommes aussi peuvent se prostituer, avec ou sans érection).
Merci pour cette information intéressante. Cela dit, on ne connaît pas mieux les effets du "Viagra" féminin sur les consommatrices dans vingt ou trente ans...AurélieKlein a écrit:Quand à l'extasy, j'ai des patients de 45 ans qui présentent des pathologie de type Alzheimer ... Leur point commun semble être qu'ils étaient de grand consommateur d'X...
- IridaceaAncien⋅ne
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Date d'inscription : 12/05/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 14:19
De façon plus large, on dirait dans cette phrase que cette dame perçoit le vagin comme un trou dans un mur, et ignore qu'il s'agit d'un organe assez complexe (tout comme la vulve) qui répond à l'excitation sexuelle en se modifiant (à l'instar d'un pénis…).Araignée a écrit:Tiens, j'ai tiqué aussi sur cette phrase, j'ai pensé "elle connaît pas le vaginisme la madame !!" (même si on peut se prostituer avec un vaginisme - je l'ai fait, j'ai eu très mal, et je ne pouvais faire qu'une passe tous les deux jours... Ceci dit, l'argument de la prostitution, euh... les hommes aussi peuvent se prostituer, avec ou sans érection).Iridacea a écrit:Euh, dans ta citation @pierregr, ce qui m'étonne c'est ce passage :
La non-lubrication, la non-stimulation du point G (clitoris interne), c'est pas un obstacle à la pénétration ? La stimulation du gland du clito sans excitation préalable, c'est pas désagréable ?La femme n'a aucun obstacle sinon psychologique a mener à terme un rapport sexuel sans aucun désir ce qui leur permet d'être prostitutée. . Les femmes n'ont donc rien de mécanique à suppléer de ce côté là!
Je suis plutôt sur le même avis que la dame sur la petite pilule rose, mais on dirait qu'elle suggère (à l'instar d'un conservateur lambda) qu'une femme cis n'a qu'à ouvrir les jambes pour avoir un rapport, et que les seuls problèmes occasionnés sont psychologiques. C'est assez troublant.
- AurélieKleinBleu⋅e
- Messages : 47
Date d'inscription : 20/08/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 16:39
Merci pour cette information intéressante. Cela dit, on ne connaît pas mieux les effets du "Viagra" féminin sur les consommatrices dans vingt ou trente ans...
Très bonne remarque. C'est tout à fait vrai.
D'un autre côté, si on avait connu les effets à long terme de la Pillule à l'époque ou elle est sortie, je vous garantie que vous n'en auriez jamais entendu parler...
Très bonne remarque. C'est tout à fait vrai.
D'un autre côté, si on avait connu les effets à long terme de la Pillule à l'époque ou elle est sortie, je vous garantie que vous n'en auriez jamais entendu parler...
- InvitéInvité
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 16:51
En effet, les hommes auraient trouvé un autre moyen d'accès quasi illimité au corps des femmes. Ce que la pilule (et la contraception de manière générale) leur donne depuis quelques décennies maintenant. Ils pourraient au moins avoir la décence de nous donner la contraception et l'IVG mais c'était pas assez pernicieux : ils veulent un accès à nos corps (qu'on soit lesbiennes ils s'en tapent) tout en restreignant dès que possible les possibilité d'éviter une fécondation.
Je sais que cela paraît dur comme analyse mais elle se vérifie hélas.
"T'as peur de tomber enceinte ? T'as qu'à prendre la pilule !".
Je sais que cela paraît dur comme analyse mais elle se vérifie hélas.
"T'as peur de tomber enceinte ? T'as qu'à prendre la pilule !".
- KunuBleu⋅e
- Messages : 11
Date d'inscription : 03/04/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 17:37
(je m'incruste dans le débat)
Je ne peux pas m'empêcher de m'interroger sur le succès potentiel de ce produit. A-t-il seulement une chance ?
J'ai l'impression que beaucoup d'entre nous on prit l'hypothèse de l'insatisfaction des femmes pour expliquer l'absence de désire dans une majorité des cas. J'adhère à cette hypothèse!
MAIS quand je m'imagine prendre un tel produit avec un partenaire inattentionné. J'ai l'impression que ce médoc ne fera que cristallisé mon insatisfaction. Puisque admettons qu'on baise et que je ne pas de plaisir (puisqu'on ne cherche pas à m'en donner). Cela ne peut-il pas me faire prendre conscience que le problème est autre part ?!
J'ai l'impression que l'ennui refera vite son apparition et qu'une pilule ne pourra rien y faire.
Ce serait comme prendre une pilule pour se donner faim quand on a déjà rien à se mettre sous la dent.
Ouais...les choses ne sont probablement pas aussi simple.
De toute façon, une absence de désir est soit normal (asexualité), soit un symptôme mais dans tout les cas, j'ai peur que ce médoc ne soit utilisé pour banaliser le "devoir conjugual"
Sinon ne peut-il pas être prescrit dans certain cas précis, comme la dépression? De telle façon a brisée un cercle vicieux de désintérêt et d'ennui comme on prendrait un anti-dépresseur temporairement. Sauf que beaucoup d'antidépresseur présente des soucis de dépendance qui je trouve, présentent des intérêts dangereux pour la fragilité émotionnel d'une victime de dépression.
Maintenant ça dépend du type de dépression et de leur cause. Par exemple pour quelqu'un(e) qui a été surmené durant une année d'étude, qu'il/elle a terminé par rater, qu'il/elle n'arrive pas à s'en remettre, dépression et perte de libido tout ça. Bref ne serait-t-il pas moins dangereux de reprendre goût à la vie en passant par un médicament qui te donne temporairement un appétit sexuel ou temporairement l'appétit alimentaire ou temporairement le sommeil (en fonction de ce qui domine l'aspect de ta dépression). plutôt que direct un antidépresseurs paf dans ta gueule, avec un effet qui dure toute la journée et qui te fatigue encore plus. Je trouve que dans bien des cas ils sont prescrit en surdose et pour des gens qui auraient pu sans sortir avec un simple soutien psychologique (bien sur, il y a aussi des gens qui en ont vraiment besoin).
C'est une idée comme ça mais bref il y a peut-être des usages plus intelligents plutôt que de "soigner" une hypo-activité sexuelle. Sinon je vous rejoins, je m'indigne aussi car j'ai l'impression que ce médicament a été inventé pour lutter contre l'hypo-activité sexuelle comme si cette hypo-activité était le problème en soit
Mais en plus qu'il présente ce médoc comme l'équivalent du viagra c'est juste écoeurant.
Sinon gardons à l'esprit qu'il n'est pas dans l'intérêt des sociétés pharmaceutiques que nous nous rendions compte que nous sommes normal et en bonne santé (et que nous le restions) alors ça ne m'étonne pas vraiment
(J'espère que je suis cohérente parce que je suis hyper naze et j'ai l'impression d'écrire/dire de la merde )
Je ne peux pas m'empêcher de m'interroger sur le succès potentiel de ce produit. A-t-il seulement une chance ?
J'ai l'impression que beaucoup d'entre nous on prit l'hypothèse de l'insatisfaction des femmes pour expliquer l'absence de désire dans une majorité des cas. J'adhère à cette hypothèse!
MAIS quand je m'imagine prendre un tel produit avec un partenaire inattentionné. J'ai l'impression que ce médoc ne fera que cristallisé mon insatisfaction. Puisque admettons qu'on baise et que je ne pas de plaisir (puisqu'on ne cherche pas à m'en donner). Cela ne peut-il pas me faire prendre conscience que le problème est autre part ?!
J'ai l'impression que l'ennui refera vite son apparition et qu'une pilule ne pourra rien y faire.
Ce serait comme prendre une pilule pour se donner faim quand on a déjà rien à se mettre sous la dent.
Ouais...les choses ne sont probablement pas aussi simple.
De toute façon, une absence de désir est soit normal (asexualité), soit un symptôme mais dans tout les cas, j'ai peur que ce médoc ne soit utilisé pour banaliser le "devoir conjugual"
Sinon ne peut-il pas être prescrit dans certain cas précis, comme la dépression? De telle façon a brisée un cercle vicieux de désintérêt et d'ennui comme on prendrait un anti-dépresseur temporairement. Sauf que beaucoup d'antidépresseur présente des soucis de dépendance qui je trouve, présentent des intérêts dangereux pour la fragilité émotionnel d'une victime de dépression.
Maintenant ça dépend du type de dépression et de leur cause. Par exemple pour quelqu'un(e) qui a été surmené durant une année d'étude, qu'il/elle a terminé par rater, qu'il/elle n'arrive pas à s'en remettre, dépression et perte de libido tout ça. Bref ne serait-t-il pas moins dangereux de reprendre goût à la vie en passant par un médicament qui te donne temporairement un appétit sexuel ou temporairement l'appétit alimentaire ou temporairement le sommeil (en fonction de ce qui domine l'aspect de ta dépression). plutôt que direct un antidépresseurs paf dans ta gueule, avec un effet qui dure toute la journée et qui te fatigue encore plus. Je trouve que dans bien des cas ils sont prescrit en surdose et pour des gens qui auraient pu sans sortir avec un simple soutien psychologique (bien sur, il y a aussi des gens qui en ont vraiment besoin).
C'est une idée comme ça mais bref il y a peut-être des usages plus intelligents plutôt que de "soigner" une hypo-activité sexuelle. Sinon je vous rejoins, je m'indigne aussi car j'ai l'impression que ce médicament a été inventé pour lutter contre l'hypo-activité sexuelle comme si cette hypo-activité était le problème en soit
Mais en plus qu'il présente ce médoc comme l'équivalent du viagra c'est juste écoeurant.
Sinon gardons à l'esprit qu'il n'est pas dans l'intérêt des sociétés pharmaceutiques que nous nous rendions compte que nous sommes normal et en bonne santé (et que nous le restions) alors ça ne m'étonne pas vraiment
(J'espère que je suis cohérente parce que je suis hyper naze et j'ai l'impression d'écrire/dire de la merde )
- AraignéeAncien⋅ne
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Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 18:32
Attention à ne pas confondre les anti-dépresseurs avec les benzodiazépines et autres anxiolytiques. Les anxiolytiques (du moins ceux appartenant à la classe des benzo) créent une dépendance, pas les AD.
Après, je suis d'accord quant au fait qu'on prescrit trop souvent des AD pour une déprime passagère pouvant être dépassée par un soutien psy, mais ça, c'est en partie du au fait que nombre de médecins pas psychiatres les prescrivent sans se poser de questions ni être réellement informé-e-s. Il y a, bien sûr, aussi des psychiatres qui prescrivent à tout va, mais déjà, si on limitait la prescription de psychotropes aux psychiatres, une partie du problème serait réglée...
Après, je suis d'accord quant au fait qu'on prescrit trop souvent des AD pour une déprime passagère pouvant être dépassée par un soutien psy, mais ça, c'est en partie du au fait que nombre de médecins pas psychiatres les prescrivent sans se poser de questions ni être réellement informé-e-s. Il y a, bien sûr, aussi des psychiatres qui prescrivent à tout va, mais déjà, si on limitait la prescription de psychotropes aux psychiatres, une partie du problème serait réglée...
- IridaceaAncien⋅ne
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Date d'inscription : 12/05/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
22.08.15 19:10
Je rappelle que ce médicament est autorisé pour traiter les troubles du désir sexuel chez les femmes pré-ménopausées (très grosso-modo à partir de 40 ans) ne présentant aucun autre problème ; c'est-à-dire non dépressives, sans traumatismes sexuels etc.
Ça ne veut pas dire que ce médicament ne sera pas utilisé en dehors de ce cadre d'application, mais il faut bien comprendre que c'est censé traiter un problème assez précis (même si on peut mettre en doute l'existence de ce problème).
La plupart des articles de la presse généraliste occulte cet aspect et ça me gêne.
Ça ne veut pas dire que ce médicament ne sera pas utilisé en dehors de ce cadre d'application, mais il faut bien comprendre que c'est censé traiter un problème assez précis (même si on peut mettre en doute l'existence de ce problème).
La plupart des articles de la presse généraliste occulte cet aspect et ça me gêne.
- AurélieKleinBleu⋅e
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Date d'inscription : 20/08/2015
Re: La vente du "viagra pour femmes"
02.09.15 12:29
Je me suis finalement renseignée auprès d'un gynéco de mon service qui a des contact dans la recherche.
Le viagra féminin est une catastrophe annoncée.
Ses effets démontrables sont a peine supérieurs à celui d'un placebo, et il s'agit d'un traitement à long terme !
Par contre ses effets secondaires sont bien réels, et potentiellement dangereux.
Entre autre, la prise d'alcool quand on est sous l'effet de ce 'médicament' peut provoquer des crises de somnolence, voire des pertes de conscience !
Le pire est qu'il semble bien que des organisations féministes américaines aient fait du lobbying pour que cette merde sorte sur le marché, sous prétexte de parité entre traitement pour homme et femmes. (entre autre la présidente de la National organisation for women)
http://www.wbur.org/npr/384043661/female-libido-pill-fires-up-debate-about-women-and-sex
(Il existe une 30° de traitement pour les troubles masculins, et quasiment aucun pour les troubles féminins jusqu'à l'arrivée de la Transferrine (le fameux 'viagra' féminin).
(Et il y a avait une bonne raison à cela:90% des troubles masculins étaient des troubles érectiles, réglables avec des substances régulant le flux sanguin de façon localisée. Le problème n'était pas le désir mais la capacité à bander)
Le trouble du désir féminin est lié à un changement de la chimie du cerveau. Entre autre production moindre de certains neurotransmetteurs.
Transferrine est donc principalement un anxiolytique ET un antidépresseur ''moyen' changeant l'émission et la réception des serotonine, dopamine etc
Pour résumer, il 'bricole' la chimie de votre cerveau avec des résultats pitoyables, mais des risques certains.
Le viagra féminin est une catastrophe annoncée.
Ses effets démontrables sont a peine supérieurs à celui d'un placebo, et il s'agit d'un traitement à long terme !
Par contre ses effets secondaires sont bien réels, et potentiellement dangereux.
Entre autre, la prise d'alcool quand on est sous l'effet de ce 'médicament' peut provoquer des crises de somnolence, voire des pertes de conscience !
Le pire est qu'il semble bien que des organisations féministes américaines aient fait du lobbying pour que cette merde sorte sur le marché, sous prétexte de parité entre traitement pour homme et femmes. (entre autre la présidente de la National organisation for women)
http://www.wbur.org/npr/384043661/female-libido-pill-fires-up-debate-about-women-and-sex
(Il existe une 30° de traitement pour les troubles masculins, et quasiment aucun pour les troubles féminins jusqu'à l'arrivée de la Transferrine (le fameux 'viagra' féminin).
(Et il y a avait une bonne raison à cela:90% des troubles masculins étaient des troubles érectiles, réglables avec des substances régulant le flux sanguin de façon localisée. Le problème n'était pas le désir mais la capacité à bander)
Le trouble du désir féminin est lié à un changement de la chimie du cerveau. Entre autre production moindre de certains neurotransmetteurs.
Transferrine est donc principalement un anxiolytique ET un antidépresseur ''moyen' changeant l'émission et la réception des serotonine, dopamine etc
Pour résumer, il 'bricole' la chimie de votre cerveau avec des résultats pitoyables, mais des risques certains.
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