L’impact de l’attachement sur la violence conjugale : état de la question

Je n'ai pas lu Jonhson 1995, mais j'avoue que lire

lviolence de type patriarcal. Selon Johnson (1995), ce dernier type de violence serait généralement perpétré par les hommes et serait moins généralisé.

me fait bizarre. Comme si, finalement, le patriarcat serait quasi fini et pas du tout généralisé. Ce n'est pas du tout ce que je constate  (dans mes écoles, notamment).

Selon le courant biologique, l’homme posséderait des pulsions agressives, qui le rendraient violent (Freud, 1933 ; Lorenz, 1966).

Il faut comprendre homme comme humain.

Selon le courant sociologique, le stress socio-économique, l’identification aux rôles traditionnels, de même que le phénomène de l’apprentissage social, sont reliés à la violence conjugale

Les rôles traditionnels n'ont rien à voir avec le patriarcat ? Idem pour les

mythes et préjugés sur la condition de l’homme et de la femme

.

Bref, je pense que l'auteur ne veut pas voir le patriarcat.

La perspective féministe, quant à elle, stipule que la majorité des actes violents seraient commis contre les femmes. Selon les tenants de cette conception, notre société serait une société patriarcale, au sein de laquelle il existerait une tolérance de la violence des hommes sur les plans individuel et institutionnel (voir Gelles, 1997).

Le féminisme ne se limite pas à cela.

considérer la violence conjugale comme étant, en partie, la manifestation d’une dynamique d’attachement non sécurisante.

il appert que l’attachement de la femme ressort plus souvent comme ayant un potentiel d’influence sur la violence de son partenaire amoureux, comparativement à l’attachement de l’homme.(...)les études énumérées montrent que la violence physique et psychologique d’un partenaire est liée à l’attachement de l’autre partenaire.

Au final, si un partenaire est violent, c'est de la faute de l'autre. Hum

Zut, dommage de lire ça, car le site du CAIRN je l'aimai bien.