- InvitéInvité
J'ai dans mon entourage proche une personne qui semble bien être victime de violences psychologique au sein de son couple. Comme toujours sans doute, les choses ont commencé de façon progressive et ont empiré petit à petit, mais il y un moment où il faut bien appeler un chat un chat.
Parmi les comportements qu'elle m'a rapporté de la part de son conjoint et qui m'ont le plus frappé, il y a le fait qu'il fouille régulièrement ses affaires en son absence, qu'il semble la soupçonner en permanence d'on ne sait trop quoi, essaye de contrôler son emploi du temps et ses fréquentations (heureusement elle résiste), se moque des ses problèmes de santé et l'accuse plus ou moins ouvertement de les inventer (parmi lesdits problèmes, il y a quand même le suivi d'un cancer du sein, qui s'invente difficilement), bref, un tableau bien sombre.
La personne en question semble réaliser petit à petit la situation, mais semble encore avoir du mal à envisager un divorce, en partie à cause de difficulté matérielles, en partie par crainte de la solitude (ce qui me fait penser, mais ce n'est que mon interprétation, que quelque part elle ne mesure pas totalement la gravité de ce qu'elle subit, si le fait d'être seule peut lui paraître pire).
Que pouvez-vous me conseiller pour l'aider à faire face à cette situation et à en s'en sortir ? Y a-t-il des associations vers lesquelles elle peut se tourner pour obtenir du soutient ?
Parmi les comportements qu'elle m'a rapporté de la part de son conjoint et qui m'ont le plus frappé, il y a le fait qu'il fouille régulièrement ses affaires en son absence, qu'il semble la soupçonner en permanence d'on ne sait trop quoi, essaye de contrôler son emploi du temps et ses fréquentations (heureusement elle résiste), se moque des ses problèmes de santé et l'accuse plus ou moins ouvertement de les inventer (parmi lesdits problèmes, il y a quand même le suivi d'un cancer du sein, qui s'invente difficilement), bref, un tableau bien sombre.
La personne en question semble réaliser petit à petit la situation, mais semble encore avoir du mal à envisager un divorce, en partie à cause de difficulté matérielles, en partie par crainte de la solitude (ce qui me fait penser, mais ce n'est que mon interprétation, que quelque part elle ne mesure pas totalement la gravité de ce qu'elle subit, si le fait d'être seule peut lui paraître pire).
Que pouvez-vous me conseiller pour l'aider à faire face à cette situation et à en s'en sortir ? Y a-t-il des associations vers lesquelles elle peut se tourner pour obtenir du soutient ?
Question délicate...
Je vais essayer de te donner des pistes en utilisant mon expérience, ça ne répondra peut-être pas exactement aux mêmes besoins que pour elle, mais bon...
D'abord, ne pas minimiser, ne pas faire semblant de ne rien voir. Je l'ai déjà mentionné sur le forum je crois, dans mon cas tout le monde chantait la même chanson : "ah, il est pas facile, mais elle sait le gérer". Ou alors, quand ils voyaient clairement la violence et qu'ils ne pouvaient pas l'ignorer... et bien ils l'ignoraient quand même. C'est comme si tout ça n'existait pas. Et du coup, au lieu de se dire qu'on subit de la violence, on se dit "c'est vrai qu'il n'est pas facile, mais heureusement je sais le gérer (et il a besoin de moi pour se gérer)". Et on ne remet rien en question, on fait comme si la violence n'existait pas, on fait semblant de ne pas en subir les conséquences.
Tu peux éventuellement essayer d'en parler à des personnes de votre entourage qui sont réceptives, faire en sorte de lui former un "cocon d'entraide" qui sera là pour la comprendre et la soutenir dans sa décision. Car prendre un tournant aussi radical dans sa vie c'est aussi se jeter un peu dans le vide, sans savoir qui sera là pour nous rattraper (et qui va nous abandonner sous prétexte qu'on a brisé la famille, qu'on aurait du faire des efforts, etc.). Donc lui faire savoir que toi au moins tu seras là.
Le coup du "je vais me retrouver toute seule, je ne retrouverai jamais quelqu'un, et puis en plus il a plein de points positifs quand même et il m'aime et puis on a de bons souvenirs..." : on se l'est toutes dit, mais ce n'est jamais un bon argument. Il faut bien mettre en valeur le fait que si on n'ose pas partir maintenant, plus tard ce sera probablement encore plus dur, et cela signifie que l'on va passer tout le reste de sa vie à subir cette pression et cette violence.
Car il ne faut PAS compter sur l'espoir que cela va s'arranger. La majorité du temps, cela ne fait que se dégrader.
Et bon, c'est facile à dire comme ça, mais personnellement je trouve que redevenir célibataire est sans doute une des meilleures choses qui me soient arrivées dans ma vie Redécouvrir la liberté, l'indépendance, le choix, zéro pression, zéro culpabilité... c'était comme mettre le pied dans un nouveau monde. Le contraste était tellement saisissant, ça m'a donné un élan pour faire mille nouvelles choses et découvrir ce dont j'avais réellement envie, ça a vraiment été un bouleversement pour moi.
Pour les problèmes matériels liés à la séparation, c'est déjà plus compliqué. J'étais très jeune quand ça m'est arrivé, alors on ne vivait pas ensemble, ni rien... Elle a un métier, quand même ? Et ils ont des enfants ?
Elle peut se faire aider par des associations lors des procédures, et éventuellement obtenir des allocations. Je crois que lors de la procédure de divorce, elle peut se faire attribuer un logement par le juge aux affaires matrimoniales.
Je vais essayer de te donner des pistes en utilisant mon expérience, ça ne répondra peut-être pas exactement aux mêmes besoins que pour elle, mais bon...
D'abord, ne pas minimiser, ne pas faire semblant de ne rien voir. Je l'ai déjà mentionné sur le forum je crois, dans mon cas tout le monde chantait la même chanson : "ah, il est pas facile, mais elle sait le gérer". Ou alors, quand ils voyaient clairement la violence et qu'ils ne pouvaient pas l'ignorer... et bien ils l'ignoraient quand même. C'est comme si tout ça n'existait pas. Et du coup, au lieu de se dire qu'on subit de la violence, on se dit "c'est vrai qu'il n'est pas facile, mais heureusement je sais le gérer (et il a besoin de moi pour se gérer)". Et on ne remet rien en question, on fait comme si la violence n'existait pas, on fait semblant de ne pas en subir les conséquences.
Tu peux éventuellement essayer d'en parler à des personnes de votre entourage qui sont réceptives, faire en sorte de lui former un "cocon d'entraide" qui sera là pour la comprendre et la soutenir dans sa décision. Car prendre un tournant aussi radical dans sa vie c'est aussi se jeter un peu dans le vide, sans savoir qui sera là pour nous rattraper (et qui va nous abandonner sous prétexte qu'on a brisé la famille, qu'on aurait du faire des efforts, etc.). Donc lui faire savoir que toi au moins tu seras là.
Le coup du "je vais me retrouver toute seule, je ne retrouverai jamais quelqu'un, et puis en plus il a plein de points positifs quand même et il m'aime et puis on a de bons souvenirs..." : on se l'est toutes dit, mais ce n'est jamais un bon argument. Il faut bien mettre en valeur le fait que si on n'ose pas partir maintenant, plus tard ce sera probablement encore plus dur, et cela signifie que l'on va passer tout le reste de sa vie à subir cette pression et cette violence.
Car il ne faut PAS compter sur l'espoir que cela va s'arranger. La majorité du temps, cela ne fait que se dégrader.
Et bon, c'est facile à dire comme ça, mais personnellement je trouve que redevenir célibataire est sans doute une des meilleures choses qui me soient arrivées dans ma vie Redécouvrir la liberté, l'indépendance, le choix, zéro pression, zéro culpabilité... c'était comme mettre le pied dans un nouveau monde. Le contraste était tellement saisissant, ça m'a donné un élan pour faire mille nouvelles choses et découvrir ce dont j'avais réellement envie, ça a vraiment été un bouleversement pour moi.
Pour les problèmes matériels liés à la séparation, c'est déjà plus compliqué. J'étais très jeune quand ça m'est arrivé, alors on ne vivait pas ensemble, ni rien... Elle a un métier, quand même ? Et ils ont des enfants ?
Elle peut se faire aider par des associations lors des procédures, et éventuellement obtenir des allocations. Je crois que lors de la procédure de divorce, elle peut se faire attribuer un logement par le juge aux affaires matrimoniales.
- InvitéInvité
Merci pour vos conseils à toutes les deux. Je lui parlerai de ce numéro, j'espère que ça pourra l'aider aussi.
C'est il y a quelque jours qu'en passant au commissariat pour tout autre chose elle est tombée sur un dépliant au sujet de la violence psychologique et que ça fait tilt (en quelque sorte).
Dans un monde idéal je dirais oui, mais vu comment sont souvent traitées les victimes, et le caractère potentiellement difficile à prouver des violences non-physiques... Manquerait plus que quelqu'un lui réponde que « mais non madame, la violence c'est quand y'a des coups », sur le mode de « un viol c'est quand vous le connaissez pas et qu'il a un couteau »... ça arrangerait certainement pas les choses.
Oui, ça c'est déjà le cas. Bon, en fait je n'avais pas identifié ça comme de la violence, mais je lui avais déjà dit qu'à mon avis, des problèmes de couple sont une chose, mais que les faits qu'elle décrit en sont une autre, qui n'est pas acceptable, et qu'à mon avis une limite avaient été franchie.Déconstruire a écrit:D'abord, ne pas minimiser, ne pas faire semblant de ne rien voir.
C'est il y a quelque jours qu'en passant au commissariat pour tout autre chose elle est tombée sur un dépliant au sujet de la violence psychologique et que ça fait tilt (en quelque sorte).
Oui, je pense lui avoir déjà dit mais je n'hésiterai pas à lui répéter. En fait elle a déjà vécu plusieurs séparations (les deux pères de ses deux enfants) difficiles, et lors de la première elle a eu effectivement beaucoup de problèmes avec une partie de sa famille qui ne la soutenait pas du tout au contraire. Ceci dit cette fois je pense que ça serait différent, même peut-être que ça contribue quand même à compliquer les choses pour elle.Tu peux éventuellement essayer d'en parler à des personnes de votre entourage qui sont réceptives, faire en sorte de lui former un "cocon d'entraide" qui sera là pour la comprendre et la soutenir dans sa décision. Car prendre un tournant aussi radical dans sa vie c'est aussi se jeter un peu dans le vide, sans savoir qui sera là pour nous rattraper (et qui va nous abandonner sous prétexte qu'on a brisé la famille, qu'on aurait du faire des efforts, etc.). Donc lui faire savoir que toi au moins tu seras là.
Oui. En fait, il y a un peu plus d'un an qu'elle m'a confié pour la première fois qu'elle pensait au divorce, et un an après le constat est que ça c'est dégradé de façon constante. Là, elle se fixe plus ou moins comme délai le passage à la retraite de son compagnon (dans 9 mois), mais ça me fait un peu peur, parce que ça peut être un piège de fixer un délai, puis un autre, puis un autre.Car il ne faut PAS compter sur l'espoir que cela va s'arranger. La majorité du temps, cela ne fait que se dégrader.
C'est ce que je lui souhaite ! Et d'ailleurs c'est aussi comme ça que je vois sa vie après, et je lui dis, mais j'ai l'impression qu'elle ne l'entend pas vraiment.Et bon, c'est facile à dire comme ça, mais personnellement je trouve que redevenir célibataire est sans doute une des meilleures choses qui me soient arrivées dans ma vie Redécouvrir la liberté, l'indépendance, le choix, zéro pression, zéro culpabilité... c'était comme mettre le pied dans un nouveau monde. Le contraste était tellement saisissant, ça m'a donné un élan pour faire mille nouvelles choses et découvrir ce dont j'avais réellement envie, ça a vraiment été un bouleversement pour moi.
Oui, elle travaille (et gagne peut-être plus que lui même). D'ailleurs c'est en bonne partie depuis qu'elle a changé de boulot (elle s'épanouit beaucoup plus dans le nouveau) que les choses ont empirées... Ils n'ont pas d'enfants mais elle s'est beaucoup attachée aux petites-filles de son mari, qu'elle a pour ainsi dire vu naître et qu'elle considère presque comme ses propres petites-filles.Pour les problèmes matériels liés à la séparation, c'est déjà plus compliqué. J'étais très jeune quand ça m'est arrivé, alors on ne vivait pas ensemble, ni rien... Elle a un métier, quand même ? Et ils ont des enfants ?
En parlant de procédure, à ton avis est-ce qu'elle a intérêt à parler de la violence subie au juge pendant le divorce, voire avant ? (À la police ??)Je crois que lors de la procédure de divorce, elle peut se faire attribuer un logement par le juge aux affaires matrimoniales.
Dans un monde idéal je dirais oui, mais vu comment sont souvent traitées les victimes, et le caractère potentiellement difficile à prouver des violences non-physiques... Manquerait plus que quelqu'un lui réponde que « mais non madame, la violence c'est quand y'a des coups », sur le mode de « un viol c'est quand vous le connaissez pas et qu'il a un couteau »... ça arrangerait certainement pas les choses.
Comme quoi c'est toujours utile ! Je me pose parfois la question... Je vais reprendre mes campagnes de tractage/affichage sauvage alorsC'est il y a quelque jours qu'en passant au commissariat pour tout autre chose elle est tombée sur un dépliant au sujet de la violence psychologique et que ça fait tilt (en quelque sorte).
Une autre petite brochure à lire pour bien se rendre compte des différentes dimensions de la violence :
http://infokiosques.net/lire.php?id_article=531
(NB, les infokiosques sont à dévorer dans leur intégralité)
Oui, le coup de la date limite c'est souvent piégeux car à l'approche de la fin du délai on trouve toujours une date plus éloignée qui conviendra mieux. Et puis qui sait ce qui se sera passé d'ici là...Là, elle se fixe plus ou moins comme délai le passage à la retraite de son compagnon (dans 9 mois), mais ça me fait un peu peur, parce que ça peut être un piège de fixer un délai, puis un autre, puis un autre.
J'ai lu je ne sais plus où que les études montraient que les hommes étaient plus enclins à devenir violents (ou plus violents) quand ils étaient au chômage et pas leur femme, ou quand leur femme gagnait plus qu'eux, etc. Ca en dit long...Oui, elle travaille (et gagne peut-être plus que lui même). D'ailleurs c'est en bonne partie depuis qu'elle a changé de boulot (elle s'épanouit beaucoup plus dans le nouveau) que les choses ont empirées...
Il faudrait que je retrouve le document.
Ah ça c'est autre chose... Soit il y a moyen de s'arranger pour qu'elle puisse continuer à les voir, soit si les choses tournent vraiment mal il faudrait se résoudre à ne plus les voir, mais c'est une décision tout à fait personnelle et forcément difficile... Il faut voir les relations avec le reste de la famille, etc. N'ayant pas la moindre idée de la situation je n'ai pas de conseil à donner pour le coup.Ils n'ont pas d'enfants mais elle s'est beaucoup attachée aux petites-filles de son mari, qu'elle a pour ainsi dire vu naître et qu'elle considère presque comme ses propres petites-filles.
Honnêtement je ne sais pas. Je n'ai aucune expérience dans le domaine ni aucun retour d'expérience de la part d'autres personnes. Effectivement le caractère difficile à prouver des violences psychologiques pourrait éventuellement se retourner contre elle ? Le plus simple serait peut-être de pouvoir obtenir un divorce par consentement mutuel, mais après je ne sais pas si les aides fonctionneraient quand même du coup. Je pense que les permanences téléphoniques des associations lui seront d'une plus grande aide pour obtenir des renseignements sur ce sujet, et pour l'accompagner dans sa démarche.En parlant de procédure, à ton avis est-ce qu'elle a intérêt à parler de la violence subie au juge pendant le divorce, voire avant ? (À la police ??)
Edit : effectivement ça a l'air difficile... le délit de violence psychologique dans le couple n'existe que depuis 2010 !!!
http://www.elledivorce.com/html/juridique/harcelement-moral/l-interet-d-une-procedure-contentieuse.php5
- InvitéInvité
Oui, je m'étais dit aussi « ah bah tiens, ça sert ». Je sais pas si ça provenait d'une asso ou d'un truc officiel.Déconstruire a écrit:Comme quoi c'est toujours utile ! Je me pose parfois la question... Je vais reprendre mes campagnes de tractage/affichage sauvage alors
Ça a l'air très complet en effet.Une autre petite brochure à lire pour bien se rendre compte des différentes dimensions de la violence :
http://infokiosques.net/lire.php?id_article=531
(NB, les infokiosques sont à dévorer dans leur intégralité)
Tout à fait. Ceci dit, elle est quand même déjà engagée dans une réflection sur le divorce, prend des renseignements sur les aspect matériels par exemple. Mais mon ressenti est qu'elle a encore du mal à prendre vraiment la décision.Oui, le coup de la date limite c'est souvent piégeux car à l'approche de la fin du délai on trouve toujours une date plus éloignée qui conviendra mieux. Et puis qui sait ce qui se sera passé d'ici là...
Oui. Sachant qu'elle a déjà vécu une situation similaire (enfants qu'elle a élevé pendant plusieurs années), d'un côté ça n'aide pas, d'un autre on peut se dire qu'elle a déjà réussi à surmonter cette difficulté une fois...Ah ça c'est autre chose... Soit il y a moyen de s'arranger pour qu'elle puisse continuer à les voir, soit si les choses tournent vraiment mal il faudrait se résoudre à ne plus les voir, mais c'est une décision tout à fait personnelle et forcément difficile...Ils n'ont pas d'enfants mais elle s'est beaucoup attachée aux petites-filles de son mari, qu'elle a pour ainsi dire vu naître et qu'elle considère presque comme ses propres petites-filles.
Effectivement.Je pense que les permanences téléphoniques des associations lui seront d'une plus grande aide pour obtenir des renseignements sur ce sujet, et pour l'accompagner dans sa démarche.
Oui, c'est ce dont parlait le dépliant qu'elle a vu. Ceci dit, d'après ce que j'ai lu dessus hier, les violences psychologiques étaient déjà reconnues au niveau de la jurisprudence (heureusement).Edit : effectivement ça a l'air difficile... le délit de violence psychologique dans le couple n'existe que depuis 2010 !!!
http://www.elledivorce.com/html/juridique/harcelement-moral/l-interet-d-une-procedure-contentieuse.php5
Elle pourrait aussi prendre contact directement avec les parents de ces enfants. Si les petites se sont attachées à elle, ils pourront la laisser les voir pour leur bien, malgré la situation inconfortable pour eux. Et, encore mieux, si les parents la comprennent...Numa a écrit:Oui. Sachant qu'elle a déjà vécu une situation similaire (enfants qu'elle a élevé pendant plusieurs années), d'un côté ça n'aide pas, d'un autre on peut se dire qu'elle a déjà réussi à surmonter cette difficulté une fois...Ah ça c'est autre chose... Soit il y a moyen de s'arranger pour qu'elle puisse continuer à les voir, soit si les choses tournent vraiment mal il faudrait se résoudre à ne plus les voir, mais c'est une décision tout à fait personnelle et forcément difficile...Ils n'ont pas d'enfants mais elle s'est beaucoup attachée aux petites-filles de son mari, qu'elle a pour ainsi dire vu naître et qu'elle considère presque comme ses propres petites-filles.
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