Pilosité et influence sociétale
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52 participants
- InvitéInvité
Re: Pilosité et influence sociétale
02.04.13 23:11
Tu connais la différence entre la douleur de l'un et l'absence de douleur de l'autre? C'est là que je perçois du sexisme, l'exigence n'est pas la même pour les deux. (un peu comme si, pour reprendre ton exemple) l'un faisait une "toilette de chat" avant des rapports sexuels et exigeait un bain avec peeling de la part de l'autre...Grunt a écrit:Ben, ce n'est pas forcément sexiste..Nurja a écrit:Imposer l'épilation à une femme parce que soi-même on se tond...
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
Date d'inscription : 20/01/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 0:45
Et si c'est "demander l'épilation à une femme paske soi même on s'épile" ? ou encore "demander la taille à une femme paske soi même on se taille"? c'est toujours sexiste? (vu que je subodore que c'est ce qu'a voulu dire grunt...)
- InvitéInvité
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 0:46
Alors ce n'est pas sexiste (mais me pose néanmoins problème, chacun ayant la liberté pour son propre corps)
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 0:49
Dans ce cas ce n'est peut-être pas sexiste mais je pense que ça dénote un certain déni de l'altérité: si l'homme s'épile parce qu'il en a envie, je ne pense pas que ça lui donne le droit d'exiger que sa femme s'épile alors qu'elle, n'en a pas envie.
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
Date d'inscription : 20/01/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 0:53
ah... exiger, c'est pas comme demander, c'est sur...
Après, si mon chéri décidait d'arrêter de se tailler les poils du kiki, c'est clair que je le sucerai quasiment plus. Outre que j'en aurai bien moins envie, je me dirai qu'il en a rien à faire que ça me rebute ou pas, et CA, ça me couperait clairement l'élan.
Après, si mon chéri décidait d'arrêter de se tailler les poils du kiki, c'est clair que je le sucerai quasiment plus. Outre que j'en aurai bien moins envie, je me dirai qu'il en a rien à faire que ça me rebute ou pas, et CA, ça me couperait clairement l'élan.
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 1:05
Sûr que c'est pas facile comme problème... Quand ce qu'on est rebute la personne qu'on aime, on peut faire un effort bien sûr, mais il y a des cas où l'effort est vraiment pénible. Par chance je suis jamais tombée sur des mecs qui refusaient de me sucer parce que je me taillais pas les poils, je sais pas ce que j'aurais fait si ça avait été le cas car je tiens très fort à mes poils, ça m'aurait rendue très malheureuse qu'ils dégoutent mon partenaire alors que moi je les aime tant!
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
Date d'inscription : 20/01/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 8:39
Ça me dégoute pas, ça m'etrangle ^^. Visuellement, j'aime bien les poils, c'est gustativement que ça passe pas bien :-)
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 9:21
@Cleindo, je comprends ton point de vue mais quand on interroge les jeunes (génération 15-30 ans), il y a un dégoût profonde pour les poils, déjà d'un point de vue visuel.
Donc avant d'y mettre la bouche/langue, les poils sont rejetés et j'y vois évidemment l'influence des pornos mais aussi des médias en général qui ne montrent que des corps glabres.
La journaliste britannique dont j'ai donné le lien plus haut explique que quand elle s'est montrée dans les médias l'an passé avec des poils aux aisselles, elle a été interrogée par des radios d'autres pays, jusqu'en Australie, elle était "la femme qui garde ses poils" ! A croire que c'était comme "la femme à deux têtes", alors que toutes les femmes ont des poils aux aisselles. Cela en dit long sur l'intériorisation de la norme.
Donc, le discours de bcp de jeunes hommes ne correspond pas au tien par rapport au sexe glabre : ils ne veulent même pas voir un poil sur le sexe des femmes.
Dans le petit clip des jeunes que j'ai posté plus haut (pas accessible pour l'insant), il y a eu un petit sondage certes pas scientifique mais tout de même assez troublant, sur l'intolérance masculine vis-à-vis des poils des femmes.
Pour eux, les poils "c'est sale" et ils se fichent mal des conséquences de l'arrachage des poils.
Je pense qu'il y a moyen de trouver un compromis : si vraiment le/la partenaire trouve les poils gênant, on peut les raccourcir, ce qui ne provoque que très peu d'inconvénients, comparé au rasage/à l'épilation.
Donc avant d'y mettre la bouche/langue, les poils sont rejetés et j'y vois évidemment l'influence des pornos mais aussi des médias en général qui ne montrent que des corps glabres.
La journaliste britannique dont j'ai donné le lien plus haut explique que quand elle s'est montrée dans les médias l'an passé avec des poils aux aisselles, elle a été interrogée par des radios d'autres pays, jusqu'en Australie, elle était "la femme qui garde ses poils" ! A croire que c'était comme "la femme à deux têtes", alors que toutes les femmes ont des poils aux aisselles. Cela en dit long sur l'intériorisation de la norme.
Donc, le discours de bcp de jeunes hommes ne correspond pas au tien par rapport au sexe glabre : ils ne veulent même pas voir un poil sur le sexe des femmes.
Dans le petit clip des jeunes que j'ai posté plus haut (pas accessible pour l'insant), il y a eu un petit sondage certes pas scientifique mais tout de même assez troublant, sur l'intolérance masculine vis-à-vis des poils des femmes.
Pour eux, les poils "c'est sale" et ils se fichent mal des conséquences de l'arrachage des poils.
Je pense qu'il y a moyen de trouver un compromis : si vraiment le/la partenaire trouve les poils gênant, on peut les raccourcir, ce qui ne provoque que très peu d'inconvénients, comparé au rasage/à l'épilation.
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 9:59
cleindo a écrit:Ça me dégoute pas, ça m'etrangle ^^. Visuellement, j'aime bien les poils, c'est gustativement que ça passe pas bien :-)
Le problème est le même... sans avoir à critiquer ni l'un ni l'autre des partenaires, c'est triste de devoir renoncer à ses poils quand on y est attaché(e) et c'est triste de devoir subir des poils qui vous dégoutent!
Si un homme m'avait demandé de renoncer à mes poils sous peine de ne plus avoir envie de me sucer je pense que ça aurait signi à plus ou moins brève échéance la fin de la relation, pour cause d'incompatibilité, sans que personne ne soit coupable...
@pierregr: ce n'est pas parce que la société est anti poils que ça exclut que des gens, purement par goût personnel, soient dégoutés par les poils.
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 10:08
Je sais bien. Espérons que la mode porno évoluera.
à sardine: je le redis paske ça me semble important: ça ne me DEGOUTE pas! après je suis sure que quand on est tous les deux de bonne volonté, on trouve une solution pour un pb aussi simple (simple par rapport à des choses comme éducation des enfants, religion etc...)
à sardine: je le redis paske ça me semble important: ça ne me DEGOUTE pas! après je suis sure que quand on est tous les deux de bonne volonté, on trouve une solution pour un pb aussi simple (simple par rapport à des choses comme éducation des enfants, religion etc...)
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 10:41
Je ne crois pas que ce soit aussi simple, hélas, et j'ai du mal à imaginer une solution au cas où un problème de ce genre se présenterait (que mon partenaire refuse de me sucer parce que je garde mes poils).
ça touche à l'image du corps, l'image de soi. Mon pubis très poilu, "à l'état sauvage", reflète ma personnalité. La chatte taillée (ou pire, rasée!) ce n'est pas moi. J'aurais la même impression de refus (même si ce n'est pas aussi violent que du dégout) si mon partenaire me demandait de m'épiler, me raser, me tailler le buisson... que s'il me demandait de me faire poser des implants mammaires parce que "les petits seins ça le fait pas bander".
Tu me diras les implants mammaires c'est plus violent et intrusif: mais imaginons qu'on puisse se gonfler les seins tous les matins grâce à une petite pompe, ce serait l'équivalent d'une épilation régulière: resterait le sentiment qu'on ne plaît pas telle qu'on est, telle qu'on se voit, telle qu'on s'aime soi même...
ça touche à l'image du corps, l'image de soi. Mon pubis très poilu, "à l'état sauvage", reflète ma personnalité. La chatte taillée (ou pire, rasée!) ce n'est pas moi. J'aurais la même impression de refus (même si ce n'est pas aussi violent que du dégout) si mon partenaire me demandait de m'épiler, me raser, me tailler le buisson... que s'il me demandait de me faire poser des implants mammaires parce que "les petits seins ça le fait pas bander".
Tu me diras les implants mammaires c'est plus violent et intrusif: mais imaginons qu'on puisse se gonfler les seins tous les matins grâce à une petite pompe, ce serait l'équivalent d'une épilation régulière: resterait le sentiment qu'on ne plaît pas telle qu'on est, telle qu'on se voit, telle qu'on s'aime soi même...
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 10:44
Je comprend pas trop le souci car me retrouver avec un poil coincé dans la bouche ça a pu m'arriver deux ou trois fois dans toute ma vie sexuelle
Pour les relations avec des filles c'est peut-être un peu différent (mais toutes les filles que j'ai connu s'épilaient)…
Pour les relations avec des filles c'est peut-être un peu différent (mais toutes les filles que j'ai connu s'épilaient)…
- koAncien⋅ne
- Messages : 2496
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 10:49
Faut que tu déposes un brevet, on risque de te piquer l'idée et de se faire plein de fric avec!mais imaginons qu'on puisse se gonfler les seins tous les matins grâce à une petite pompe
Je me souviens lorsque j'ai essayé de m'épiler moi même l'entrejambes... Ça saignait par les pores, tellement c'est violent pour la peau. Brr..
mais toutes les filles que j'ai connu s'épilaient
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:04
Faut que tu déposes un brevet, on risque de te piquer l'idée et de se faire plein de fric avec!
Le pire c'est que tu as raison: si c'était aussi facile (et pas trop coûteux...) beaucoup de femmes se gonfleraient les seins (et combien de fois sur demande de leur partenaire?). Or, c'est bien connu, les opérations esthétiques ont des conséquences psychologiques, parfois graves, quand le sujet ne se reconnaît plus dans sa nouvelle image.
Ce que je voulais exprimer c'est que si je devais m'épiler même partiellement je ne me reconnaîtrais plus dans cette image, et je souffrirais beaucoup de ce décalage (je ne trouve pas d'autre mot mais ce serait bien plus violent comme impression...). Mon pubis "à l'état sauvage" fait autant partie de l'image que j'ai de mon corps que la forme de mon nez, de mon menton ou de mes seins.
Cela dit si mon partenaire n'était excité que par les filles aux cheveux courts ça me ferait le même effet. Je voudrais lui faire plaisir, lui plaire... mais ce serait vraiment horriblement pénible psychologiquement.
- InvitéInvité
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:07
Ça me fait penser à un ami (perdu de vue depuis) qui s'est fait refaire le nez. Il n'a pas bien vécu l'opération (psychologiquement) et a regretté très longtemps d'avoir perdu son nez (qui le faisait pourtant complexer avant l'opération)...sardine a écrit: les opérations esthétiques ont des conséquences psychologiques, parfois graves, quand le sujet ne se reconnaît plus dans sa nouvelle image.
Le petit bémol que je mets par rapport aux poils, c'est que cela repousse.
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:13
Oui, comme les cheveux repoussent... (tu as raison, cette comparaison est sans doute plus pertinente).
Or les poils comme les cheveux ont une signification très forte et profonde pour leurs "propriétaires": les couper, tailler, revient à vouloir contrôler ce qu'on a d'animal, de sauvage (pour mon compte je dirais: de naturel, de spontané...). Je crois qu'on comprend mieux le concept au sujet des cheveux: comment ressentiriez-vous qu'un(e) partenaire vous demande de couper vos cheveux (ou la barbe, concernant les hommes)?
On n'envisage pas que les hommes et les femmes puissent avoir une image d'eux mêmes qui passe par l'image de leur sexe et de son apparence. Pourtant, pour moi en tout cas, la façon dont je suis "en accord" avec mon sexe et son image est aussi importante que la façon dont je suis en accord avec l'image du reste de mon corps (le visage et la chevelure, par exemple).
Or les poils comme les cheveux ont une signification très forte et profonde pour leurs "propriétaires": les couper, tailler, revient à vouloir contrôler ce qu'on a d'animal, de sauvage (pour mon compte je dirais: de naturel, de spontané...). Je crois qu'on comprend mieux le concept au sujet des cheveux: comment ressentiriez-vous qu'un(e) partenaire vous demande de couper vos cheveux (ou la barbe, concernant les hommes)?
On n'envisage pas que les hommes et les femmes puissent avoir une image d'eux mêmes qui passe par l'image de leur sexe et de son apparence. Pourtant, pour moi en tout cas, la façon dont je suis "en accord" avec mon sexe et son image est aussi importante que la façon dont je suis en accord avec l'image du reste de mon corps (le visage et la chevelure, par exemple).
- InvitéInvité
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:20
J'ai fait le choix il y a presque deux ans de tondre mon crâne (restait 9 mm). Pas pour domestiquer mes cheveux, juste pour expérimenter ce que cela faisait (et donner de plus longs morceaux de cheveux pour faire des perruques pour les personnes cancéreuses). J'ai aimé. j'aime aussi les laisser pousser librement depuis (la seule chose qui m'énerve c'est qqs personnes qui me disent que je devrais quand même couper, que ça pousse "n'importe comment", mais elles sont loin d'êtrre majoritaires, ouf).
Personnellement, je n'imaginerais jamais demander à un.e partenaire de changer son apparence pour me plaire (même si, j'avoue, j'ai déjà dit à certains que je les préférais avec des cheveux que crâne rasé).
Je crois que je l'ai déjà dit plus haut, mais une demande dans l'autre sens, je n'en veux pas non plus.
Personnellement, je n'imaginerais jamais demander à un.e partenaire de changer son apparence pour me plaire (même si, j'avoue, j'ai déjà dit à certains que je les préférais avec des cheveux que crâne rasé).
Je crois que je l'ai déjà dit plus haut, mais une demande dans l'autre sens, je n'en veux pas non plus.
- colcatAncien⋅ne
- Messages : 892
Date d'inscription : 05/06/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:51
Je viens de me couper les cheveux, très courts, pour la 1è fois de ma vie. Je suis trop contente :-)
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 11:55
Je trouve qu'y a un truc dont on a difficilement conscience, c'est qu'en tant que femme, même féministe, même ayant une prise de conscience etc… Ben quand ton mec te dit qu'il aime pas tes poils… Mine de rien, c'est une grosse pression, enfin ça peut être assez énorme en fait, on a beau déconstruire les rapports de genre, il en reste souvent quelque chose.
- cleindoAncien⋅ne
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Date d'inscription : 20/01/2012
Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:00
Perso (et j'ai bien conscience que je ne suis pas forcément représentative) il pourrait bien me dire ce qu'il veut que ça ne serait que SON goût a lui.
Mon ex mari était barbu taillé court (enfin barbu moustachu , il rasait quasi rien mais taillait tout court). J'avais horreur de ça, ses poils courts étaient piquants et drus et a chaque fois que je l'embrassais ça me piquait ++ la peau délicate de la zone de la bouche. J'ai fini par le lui dire. Non pas "rase toi" mais "c'est désagréable pour moi de t'embrasser dans ces conditions". Et son rasage variait selon son envie d'être embrassé je crois.
Maintenant sur le "je ne comprends pas qu'un poil gêne", ça m'agace un peu (un poil ? :-D ). Y en a que ça gêne pas, d'autres que ça gêne, y a rien a comprendre.
Je sais pas, c'est peut être qu'ils tiennent moins avec l'âge ou j'en sais rien, mais le WE dernier en quoi?... 5 minutes j'ai du m'arrêter 4 fois dont 2 avec des hauts le cœur ++ jusqu'à ce que je réussisse a chopper ce foutu poil.
Mon ex mari était barbu taillé court (enfin barbu moustachu , il rasait quasi rien mais taillait tout court). J'avais horreur de ça, ses poils courts étaient piquants et drus et a chaque fois que je l'embrassais ça me piquait ++ la peau délicate de la zone de la bouche. J'ai fini par le lui dire. Non pas "rase toi" mais "c'est désagréable pour moi de t'embrasser dans ces conditions". Et son rasage variait selon son envie d'être embrassé je crois.
Maintenant sur le "je ne comprends pas qu'un poil gêne", ça m'agace un peu (un poil ? :-D ). Y en a que ça gêne pas, d'autres que ça gêne, y a rien a comprendre.
Je sais pas, c'est peut être qu'ils tiennent moins avec l'âge ou j'en sais rien, mais le WE dernier en quoi?... 5 minutes j'ai du m'arrêter 4 fois dont 2 avec des hauts le cœur ++ jusqu'à ce que je réussisse a chopper ce foutu poil.
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:02
oui bien sûr ce serait son goût à lui, mais que ça concerne son propre corps ça compte un peu aussi, non?
edit: moi non plus j'ai pas souvent eu (jamais en fait...) de poils coincés entre les dents et pourtant j'en ai fait des pipes et des pipes!
cela dit les femmes à qui ça arrive, je comprends que ça peut être chiant surtout si on n'arrive pas à les décoincer, se balader avec des poils pubiens coincés entre les dents ça fait quand même un drôle de genre!
edit: moi non plus j'ai pas souvent eu (jamais en fait...) de poils coincés entre les dents et pourtant j'en ai fait des pipes et des pipes!
cela dit les femmes à qui ça arrive, je comprends que ça peut être chiant surtout si on n'arrive pas à les décoincer, se balader avec des poils pubiens coincés entre les dents ça fait quand même un drôle de genre!
- colcatAncien⋅ne
- Messages : 892
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:09
Pendant des années je me suis interdit de couper mes cheveux, parce que mon mari aimait mes cheveux longs. Il ne m'a jamais rien interdit en matière de coupe de cheveux, il était juste honnête en me disant "j'aime tes cheveux longs, je pense que si tu les coupes ça me fera bizarre, il me faudra surement du temps pour m'habituer". Et moi je prenais ça super mal! Mais c'était con, après tout. Là j'ai coupé, et tout va bien, si il me dit qu'il lui faudra du temps pour s'habituer, je ne vais pas le prendre pour un affront!
Pour les poils c'était encore différent, il ne m'en a jamais parlé. Il y en a, il n'y en a pas, il s'en fout. De toute façon avec ou sans, avec la langue c'est pas trop son truc, tant pis on trouve autre chose Je ne veux pas m'épiler le pubis, mais si il me disait simplement que les poils le gênent parfois, je pense qu'on pourrait trouver un compromis acceptable ; tout comme je lui demande de faire attention à la longueur de ses ongles, qu'il aime avoir longs, mais objectivement, ça n'est pas très agréable pour moi!!
Pour les poils c'était encore différent, il ne m'en a jamais parlé. Il y en a, il n'y en a pas, il s'en fout. De toute façon avec ou sans, avec la langue c'est pas trop son truc, tant pis on trouve autre chose Je ne veux pas m'épiler le pubis, mais si il me disait simplement que les poils le gênent parfois, je pense qu'on pourrait trouver un compromis acceptable ; tout comme je lui demande de faire attention à la longueur de ses ongles, qu'il aime avoir longs, mais objectivement, ça n'est pas très agréable pour moi!!
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:12
C'est pas entre les dents , c'est contre la luette, d'où les hauts le cœur ... J'ai peut être une tite luette hyper sensible :-D ou une plus grande bouche ^^
C'est son corps oui ok, mais ma bouche a moi aussi c'est mon corps. Fini les pipes, pb réglé ^^ (si ça arrivait avec mon chéri , ce qui n'est pas le cas. Maintenant pour les "invites de passage", Ben comme dit, je dis rien, demande rien, mais ça me coupe l'envie de jouer à ça . Pas grave y a d'autres trucs pour s'amuser !
C'est son corps oui ok, mais ma bouche a moi aussi c'est mon corps. Fini les pipes, pb réglé ^^ (si ça arrivait avec mon chéri , ce qui n'est pas le cas. Maintenant pour les "invites de passage", Ben comme dit, je dis rien, demande rien, mais ça me coupe l'envie de jouer à ça . Pas grave y a d'autres trucs pour s'amuser !
- sandrineAncien⋅ne
- Messages : 3591
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:16
J'ai pas dit le contraire... je pense que dans certains cas c'est un problème d'incompatibilité, quand l'un tient très fort à ses poils et que l'autre quelle que soit la raison demande à ce qu'il s'en sépare...
faire des pipes c'est pas obligé ok, mais quand même on peut comprendre que ça manque un peu dans une relation sexuelle?
faire des pipes c'est pas obligé ok, mais quand même on peut comprendre que ça manque un peu dans une relation sexuelle?
- cleindoAncien⋅ne
- Messages : 2926
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Re: Pilosité et influence sociétale
03.04.13 13:23
On est libre de ses choix ...
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