Représentation de la femme et/ou de l'homme dans le dernier film que vous avez vu !

Chuis dans ma période super-héros.

Je viens de voir les 4 Fantastiques et les 4 Fantastiques et le Surfeur d'Argent. J'aime bien ces deux films qui comportent des moments un peu décalés, genre quand on voit le bras élastique de M. Fantastique sortir des toilettes pour attraper le papier dans un placard...


Le rôle de la Femme Invisible est tenu par Jessica Alba. Je ne sais pas si c'est le botox, mais on ne peut pas dire que son visage laisse transparaître ses émotions. Je ne suis pas certaine qu'elle aie obtenu le rôle pour ses capacités d'actrice...
M. Fantastique est un grrrrrrand scientifique, la Chose et la Torche sont des pilotes chevronnés et la Femme Invisible est... ben j'en sais rien, une sorte d'assistante au début, puis une sorte de secrétaire-comptable pour son fiancé. A noter, dans le second volet, une tirade de M. Fantastique qui répond à un militaire qui vient de le traiter de crâne d'oeuf : "non, j'ai pas joué au foot pendant mes études, maintenant je suis l'un des esprits les plus brillants de ma génération et je suis fiancé à l'une des plus belles filles du monde !" Pis elle en a l'air fier.
Elle voudrait une vie normale, un mariage de princesse, des enfants, au risque de briser le groupe. Elle entraîne son fiancé dans son renoncement (ouh, la vilaine tentatrice !) avant de se résigner à être elle-même.

Les scénaristes ont l'air de savoir exactement ce qu'ils font en donnant ce rôlé à la Femme Invisible, témoin une petite phrase du second volet, lorsqu'elle se retrouve à poil dans la rue :"Pourquoi c'est toujours à moi que ça arrive ?"



Je continue à me faire du mal avec les Indestructibles.
Une famille de super-héros vue par Pixar... Je me demande depuis un certain temps si Pixar ne serait pas massivement piloté par des geeks boutonneux et bigleux adeptes de Wolrd of Warcraft, qui ne connaissent pas d'autres femmes que leurs mamans et leurs fonds d'écran.
On a tous les clichés du genre dans le film. La Maman-tigresse qui veut une vie normale, la fille complexée, la méchante blonde platine...

Conan (2011)

Tout le monde connaît Conan (tout du moins en as entendu parler). Je ne me souviens pas des adaptation précédentes (trop jeune pour m'en souvenir), donc je ne ferai pas de comparaison.
Bon, le speech : Conan est un barbare du Nord, il est né au coeur de la bataille. Premier perso féminin : sa mère. Enceinte, elle a visiblement pris la peine de se battre (pour protéger son village qui se fait attaquer), et voilà qu'elle est mortellement blessée. Son mari qui la chéri plus que tout débarque, et elle lui demande alors de l'aider à mettre au monde afin de voir son enfant avant de mourir. Petite césarienne à la barbare, "nomme ton fils. -Conan". Bref, une femme forte, mais elle meure vite.
Conan grandi, son village est attaqué alors qu'il est ado, son père meurt sous ses yeux et des années d'errances suivent. Les femmes qu'il croisent sont souvent des prostituées (en même temps il s'arrête dans des bordels avec ses hommes), ou des esclaves qu'il libère.
Bon, je passe le reste, mais en gros il rencontre une prêtresse (la victime, la belle qu'il faut sauver). Petit point fort : elle n'hésite pas à se battre ; enfin ça reste limité, c'est une prêtresse, pas une guerrière. Conan fini quand même par la considérer comme une guerrière.
Et il y a Marik, la fille du méchant, une sorcière, qui visiblement a un gros complexe oedipien mais ce n'est pas assez approfondi. Dommage, le perso aurait pu être plus intéressant. En tout cas, elle est puissante mais un peu aveuglée.

Pour résumé, ils ont fait l'effort de montrer des femmes dans une autre position que simple victime, tout en restant dans l'optique barbare où la femme aurait pu être vu comme un élément faible, voire très gênant.

Le dernier film que j'ai vu c'est the Stepford Wives, alors bon...

(c'est "un film d'horreur féministe", l'histoire de femmes libérées qui deviennent de parfaites fées du logis dans une charmante bourgade friquée de l'amérique profonde; les personnages sont donc des caricatures de femmes et d'hommes, version années 50)

Cool ce sujet

T'as vu quelle version?

Le dernier film que j'ai vu, c'était un giallo, Naked You Die d'Antonio Margheriti.
Si ça peut vous rassurer, les gialli sont souvent taxés de films misogynes Je pense néanmoins que c'est réducteur.
Les rôles des femmes sont souvent très secondaires :
- elles jouent les victimes de l'assassin (un assassin refoulé et frustré qui n'aime pas les femmes, comme c'est le cas dans certains gialli)
- la petite copine de l'inspecteur (bref, elle sert à rajouter l'ingrédient romantique au film)
- elles sont un vecteur d'érotisme (elles se font tuer nues, elles ba*sent, elles sont très pulpeuses)
Ce sont des généralités, il y a aussi beaucoup de gialli avec des personnages féminins importants, avec des protagonistes féminins. Il y a des tueuses, des femmes fatales, des femmes ordinaires, etc. Précisons, qu'il y a souvent beaucoup de scènes lesbiennes dans ces films. Elles sont sûrement présentes pour leur aspect érotique, mais précisons que dans les années soixante et soixante-dix, c'était quand même très osé pour l'époque.

Naked You Die n'était pas un de ces films à l'érotisme sulfureux. Il y a bien plus de femmes que d'hommes car le récit se déroule dans un pensionnat de filles. Elles tiennent les rôles de victimes, elles sont au centre du film, menacées par le tueur. Néanmoins, il y avait un personnage féminin un peu particulier. La grande-gueule du groupe qui fait tout le temps des blagues, qui aime le second degré. Le personnage était un peu caricatural, naïf mais sympathique tout de même. Elle dit qu'elle aime écrire des romans policiers, visiblement, elle est attirée par le métier d'inspectrice... Puis grâce à elle, une victime survit et elle a un rôle important dans la résolution de l'enquête. Donc voilà, il y avait une femme qui se détachait un peu du lot.





Une bande-annonce :

Dans la bande-annonce, ils disent "Des filles, nues ou presque". C'est assez mensonger pour attirer le public, il me semble qu'on voit à peine un bout de sein. Ils disent aussi "Des filles mignonnes, vivantes et entreprenantes" (c'est déjà ça...)

Ah en fait, je viens de me rendre compte que le dernier film que j'ai vu était Avec Django, la mort est toujours là d'Antonio Margheriti (à nouveau). Un western spaghetti. Autant vous dire que là, les femmes sont complètement absentes comme dans la plupart des westerns (américains et italiens). Le rôle le plus important est tenu - évidemment - par une prostituée qui s'entiche du personnage principal, un cow-boy solitaire, individualiste, qui a l'air plus intéressé par les conquêtes féminines multiples que par une nana. Donc voilà, la prostituée joue la nana toute dépendante affectivement : "Oh, reste avec moi", "Je ne veux plus que tu me quittes" alors qu'ils se connaissent à peine. Il lui a raconté son lourd passé et bam, en l'espace de cinq minutes, elle est séduite. Bref, elle sert à rien, elle est juste dans le décor.


(On la voit quand même sur l'affiche!)

Stepford Viwes dans la version de 1975, il me semble...

Tiens tu me fais penser à deux films: Faster Pussycat! Kill! Kill!, du mythique Russ Meyer, le réalisateur de la série des Vixen. A priori pas un gars qui va parler de femmes émancipées, plutôt un réalisateur de films à l'érotisme sourd et malsain avec des modèles de vamps à gros seins et aux désirs sexuels explosifs. C'est un film en noir et blanc qui met en scène un trio de femmes dangereuses qui conduisent vite des voitures de luxe, qui aiment la liberté, l'argent, et le danger. Dans le film, elles sortent d'un mauvais coup et se reposent dans un ranch où vit un vieil homme et son fils plus ou moins idiot. En gros elles vont tenter de piquer le fric du vieux. Outre qu'elles forment un groupe de loubards au comportement typiquement masculin, c'est le film le plus érotique que je n'ai jamais vu. Bien qu'il n'y ait quasiment aucun geste à connotation sexuelle, le film transpire l'érotisme notamment dans les relations des pouvoir entre les membres du gang et avec leurs victimes. Il y notamment une magnifique scène de combat dans la boue...
Ah ce vieux fantasme masculin de la femme masculine!


Pour le côté personnage féminin totalement effacé dans un univers masculin, je repense à Rivière sans retour (River of no return), de 1954 avec Marilyn Monroe dans le rôle de la jolie femme qui ne donne jamais son avis (elle ne sait faire qu'être jolie et chanter dans les saloon). C'est l'histoire d'un père et de son fils qui doivent descendre une rivière tumultueuse pour échapper à un soulèvement indien. Par hasard ils croisent Marilyn (à qui personne ne demande jamais son avis) et l'embarquent avec eux. Ils doivent se battre avec d'autres hommes qui voudraient bien la prendre, eux aussi
Le film cumule quelques perles de machisme américain: impassibilité masculine, meurtre d'indiens, transmission père-fils des armes et de la violence... et une scène finale magnifique où le héros rentre dans le saloon où bosse Marilyn, la prend dans ses bras, la met sur son cheval et l'embarque pour de nouvelles aventures.
Un grand must!

(à 5:20)

J'ai vu Rivière Sans Retour mais je ne me souviens pas suffisamment bien. De toute manière, les femmes, dans le western se limitent :
- aux prostituées : la femme un peu délurée qui va s'enticher du cow-boy
- aux épouses : l'épouse aimante qui reste au foyer, à attendre son mari et à s'occuper des gosses (s'il y en a)
En tout cas, j'adore Robert Mitchum (oui, il est l'incarnation du type machiste).



Néanmoins, là, je pense à Johnny Guitare où il y a un personnage de femme hors-du-commun, interprété par Joan Crawford. C'est vraiment un excellent western où transparaissent en filigrane des relations homosexuelles, des conflits de jalousie, etc.



J'aimerais bien voir le film de Russ Meyer Tu m'as donné d'autant plus envie de le voir.

Pour le sexisme au cinéma, il y a un test très simple à faire passer à chaque film

Pour réussir le test de Bechdel, un film doit réunir trois conditions simples :
- Il y a au moins deux femmes dedans...
- Qui se parlent...
- À propos d'autres choses que d'un homme.

Ça ne paraît pas grand chose... Mais il y en a un bon pourcentage qui ne le passent pas.

http://bechdeltest.com/

pierregr a écrit:Pour le sexisme au cinéma, il y a un test très simple à faire passer à chaque film

Pour réussir le test de Bechdel, un film doit réunir trois conditions simples :
- Il y a au moins deux femmes dedans...
- Qui se parlent...
- À propos d'autres choses que d'un homme.

Ça ne paraît pas grand chose... Mais il y en a un bon pourcentage qui ne le passent pas.

http://bechdeltest.com/

Exact ! J'en avais déjà entendu parlé et commencé à regarder des films en faisant le test. Je ne me souviens plus des films, mais en tout cas, de ceux que j'avais regardé, aucun ne passait le test avec succès !
Je vais m'y remettre, tiens !

Vous la connaissez peut-être, mais une jeune américaine tient un blog sur lequel elle publie des vidéos très intéressantes et - selon moi - justes sur les femmes dans les films (et plus largement, dans la pop culture).

J'aime vraiment beaucoup ses vidéos qui m'ont, je dois l'avouer, ouvert les yeux là-dessus, notamment en parlant du test de Bechdel.

http://www.feministfrequency.com/

Le dernier film que j'ai vu était La Clinique Sanglante de Fernando di Leo. Etant fan de gialli et de Klaus Kinski, je voulais voir ce film et mon Dieu, le pire giallo que j'ai jamais vu... Mais bref, concernant l'image de la femme... Il y a beaucoup de femmes (comme dans tous les gialli) qui sont les victimes d'un tueur masqué qui respire comme un buffle de manière ridicule... Ca se passe dans un hôpital psychiatrique et voici les rôles des femmes :

1. La belle amante (Margaret Lee)
Première victime du tueur mais qui échappe de peu à celui-ci. Première apparition : à poil dans un lit, en se tournant dans tous les sens et en gémissant comme si elle baisait. Elle est l'amante de Klaus Kinski, elle ne sert pas à grand chose si ce n'est à faire joli dans le décor.


2. La belle nymphomane (Rosalba Neri)
Il fallait bien comme patiente de cet hôpital psychiatrique une nymphomane, donc la voici! Belle, habillée assez légèrement dans le film, façon très seventies, elle essaye de se taper le jardinier un peu plouque avec sa moustache, les infirmiers...


3. La jolie black lesbienne (Jane Garret)
Dans énormément de gialli, il y a des scènes de lesbiennes. Bon, il ne s'agit pas forcément de faire évoluer les mentalités, même si il faut avouer qu'à l'époque, c'était rare et que ça peut avoir son mérite. Ces scènes sont surtout présentes évidemment pour le public masculin... Donc voilà la jolie black (parce qu'il en faut pour tous les goûts) qui se fait masser le cul (plein de cellulite et de vergetures, on pourra noter que dans les films actuels, ça ne se voit plus ça!) par une infirmière.


4. La jolie infirmière (Monica Strebel)
Ben voilà, 'fallait bien jouer sur les fantasmes et les stéréotypes : l'infirmière qui est à poil sous sa blouse, ou alors en porte-jarretelles!


5. Euh...
Ben fallait bien une nana en plus pour faire une victime (pour allonger la durée du film et rajouter une touche de cul et de gore tant qu'on y est)


Précisons que ce film contient même des plans pornos! Des gros plans sur des chattes... (Personnellement, je m'en serais bien passée).

Si ça vous amuse de voir ce "grand" "chef-d'oeuvre", le voici en intégralité sur YT :
https://www.youtube.com/watch?v=LMJ7a3FcrC8

La BA

J’ai pas trop le temps de regarder ce film mais pour celleux qui le feront, pourriez-vous me dire si l’une ou l’autre actrice a des poils aux aisselles ?
Je pose la question car je collecte des infos sur la présence de pilosité féminine dans les films, afin de montrer l’évolution de la censure non officielle de cette pilosité.

Les femmes ont les aisselles épilées. Elles ont des poils au pubis par contre.
Dans Riz Amer, les femmes ont des poils aux aisselles, normal c'est du néoréalisme italien... Mais sinon, là, j'ai rien qui me vient en tête.

Merci pour le feedback.

Dans "Riz amer" (1949) avec Silvana Mangano, toutes les actrices et figurantes italiennes sont poilues, la seule épilée est américaine (Doris Dowling) qui fait partie de l'intrigue du film. Elle détonne au milieu de ces femmes naturelles et sa sophistication hollywoodienne fait d'elle un être sans âme. En fait, c'est une histoire un peu féministe, le quotidien des femmes qui travaillaient dans les rizières en 1950, dans des conditions très dures, pas toujours payées, etc.
Dans un autre film de 1950, "Un dimanche d'août" de Luciano Emmer, presque toutes les scènes se passent à la plage de Rome. Et toutes les actrices et figurantes ont des poils !
Je crois que les réalisateurs non soumis aux diktats hollywoodiens ne se posaient pas la question de la maturité sexuelle : toutes les femmes avaient des poils et on filmait la réalité. Ce sont les puritains américains qui ne supportaient pas les poils, comme les baptistes et autres pentecôtistes, très nombreux aux USA fin 19ème et dont Bush est le digne descendant.
Si vous voulez en savoir plus sur l'absence de poils féminins dans les films hollywoodiens, voir mon site où j'y consacre un chapitre.

Voici la scène ultra sexy de "Riz Amer" où Silvana Mangano prouve que la pilosité peut être un attribut de séduction. A méditer par les pilophobes

https://www.youtube.com/watch?v=TqdPPNCQ7tc&feature=related (2mn51s)


Assez curieusement et de façon tout à fait anachronique, Silvana Mangano a les aisselles glabres dans "Anna" (1951) un film italien de la même période que « Riz amer ». La scène de danse est du coup bcp moins érotique.

https://www.youtube.com/watch?v=j-HNZLg6ntI

J'avais une fois vu Riz Amer au cinéma et quand on voyait les poils de Mangano, les gens faisaient "Eeeehhh!". Une deuxième fois, j'ai revu ce film avec ma classe, et idem, même réaction, quand on voit les poils de Mangano, certains ont poussé des "Beeuurrk!". On n'est pas sorti de l'auberge. D'ailleurs, c'est marrant car quand je pense à l'aspect érotique des poils, je pense tout de suite à Mangano dans Riz Amer qui est quand même une femme assez magnifique.

Tu pourrais me passer le lien où tu parles de la pilosité au cinéma?

Dans ma signature pour le site, accès direct ici

http://pgriffet.voila.net/PF.htm#cinema

J'ai commencé à regarder True Blood (il était temps, il doit déjà y avoir au-moins 5 saisons et chaque épisode dure 1 heure).
C'est une série qui respire le sexe (normal, c'est une histoire de vampire, en plus en Louisiane), ce qui est une raison suffisante pour la regarder (c'est le genre de truc qui donne des complexes sur son physique, comme Kaboom ou Les seigneurs de Dogtown...).
Mais il y a surtout UN personnage qui vaut le détour, c'est Jason. Jason, c'est la blonde hot et stupide, celui sur qui tout le monde est passée sauf le train... Sauf que bien sûr Jason c'est un mec... et qu'il se fait baiser par toutes les meufs qui passent.
La série développe aussi une petite réflexion féministe, sur le libre choix par Sookie (la soeur de Jason) de son partenaire.

En réalité le vrai message de la série est ailleurs (d'après le réalisateur): au-travers des difficultés d'intégration des vampires dans la société humaine, il parle des difficultés des homosexuels dans le sud des Etats-Unis.

Et juste pour vous faire baver, je vous met le générique...

Je suis en train de regarder La Maman et la putain de Jean Eustache et il y a des poils sous les bras!!!

@Aroublev, Merci pour la capture d'écran !
Dans ce film, il y a Bernadette Lafont et Françoise Lebrun qui ont des poils aux aisselles.
Je suppose qu'on peut le trouver un peu partout sur le Net ?

Ben en tout cas, tu peux le trouver sur mon blog de cinéma !
http://renaissanceducinema.wordpress.com/2011/09/30/la-maman-et-la-putain/

C’est autorisé de mettre des films en téléchargement sur MU ? Surtout que vu la taille des fichiers, tu dois avoir une qualité DVD, je suppose.

PS : si tu vois des femmes aux aisselles poilues dans un film, pourais-tu me le signaler ? Car je tiens une liste de ces films, afin de montrer qu’au cinéma, on peut en voir, même si ça reste assez rare.

Ca roule!

Ce film n'est pas édité en DVD (et très rare en VHS) et c'est pour ça que je l'ai mis à disposition.

Ok merci pour la surveillance.
Il est bien ton blog, je ne connais pas grand-chose au cinéma mais on voit que c'est une passion.

J'ai revu récemment la Cinquième Elément.
J'adore Gary Oldman. Et l'atmosphère du film, le délire futuriste, ça me fait marrer.
Mais alors la symbolique du truc, la fille forte et fragile à la fois qui défend la vie, qui a besoin de soutien et d'amour pour sauver le monde, euh... Sans compter les personnages secondaires : la mère chiante, les hôtesses de l'air bombasses et débiles, l'animateur radio efféminé...
Bon, quand on est alité par la gastro, c'est bien.

Je suis allée regarder des scènes du film "riz amer", ça me donne envie de le voir! Par contre, euh... l'actrice a les jambes épilées, hein. Alors les aisselles, c'est une chose, mais le jour où on verra une actrice brune bien velue des gambettes en jupe...