Militer seins nus : les Femen

Antisexisme a écrit:  

Qu'ont fait les FEMEN pour les femmes ? Rien.
Qu'ont-elles fait pour la République ? Elles ont été les égéries du porn-turn de notre belle démocratie.
 A la suite des SlutWalk, des agitations mercantiles des pinophiles et proxophiles, elles ont pornographié nos luttes, salopé nos cris. Elles ont banalisé l’agression sexuelle (voyeurisme viril).
Les hommes de France ne s'y sont pas trompés, ils les ont récompensées.
Ne jamais oublier une règle du genre quand on veut se faire entendre par les dominants :
Ils ne noues gratifient (attention voire argent qui permette de vivre et non survivre) que lorsque noues rampons à leurs ordres, dressées à l’agression sexuelle et au viol.
Quand elle annonce fièrement que tous les fascistes du pays vont devoir lui lécher les fesses pour envoyer une lettre … il est clair qu’elle se prend pour un homme. Elle ne voit pas qu’elle n’est pas en position de menacer les hommes de violences sexuelles. Elle se prend pour un viril qui se bastonne avec les Civitas. Car le fait de lécher des fesses n’humilie un homme que si c’est celui d’un autre homme. Mais si c’est celui d’une femme, là l’homme est en position d’agresseur sexuel, et c’est elle qui est la victime dans cette histoire ! Les hommes seuls ont le monopole de la violence sexuelle. Pour ignorer cela, les FEMEN ont profondément perdu toute identification aux femmes; elles caricaturent la féminité vue par les hommes (pornographique) et singe le viril (en provoquant les coqs de l’autre basse-cour). Elles se mettent donc doublement en danger, et noues avec.
 Les virils de France ne s’y sont pas trompés, ils les ont récompensées.

L.Leuwen a écrit:Les féministes, comme tous les ex progressistes, adorent enfoncer les portes ouvertes. Ainsi, elles veulent « renverser le patriarcat » alors qu’il n’existe plus depuis pas mal de temps (en Occident du moins). L’ennui, c’est que rien ne l’a remplacé et que les hommes ont tendance à déserter. Au fond, l’homosexualité est la solution proposée par ces mêmes féministes. Une solution qui exclut radicalement les hommes, simples donneurs de sperme, de la société.

Ulysse a écrit:Le problème des Femens c'est effectivement que même si on cherche à lire ce quelles ont écrit sur leur corps c'est pas toujours lisible, et comme souvent elles sont pas mal on ne peut qu'admirer la plastic. Ensuite Patriarcat ? est ce si présent ? je connais aussi quelques marâtres qui sont de belles nuisances. La femme serait elle intrinsèquement meilleur que l'homme ? j'ai un gros doute. Ont elle droit aux même job: oui bien sur.

Henri Lefrançois a écrit:Que ce soit dans l’Église, à l’Armée, dans le sport, les entreprises, en voyage, en famille ou n’importe où ailleurs, tout groupe homo-sexuel est une aberration de l’esprit, un facteur de régression. Ne sont productifs, passionnants, inventifs que les groupes mixtes. D’autant que les femmes sont courageuses et savent s’exprimer, ce qui ne peut qu’être utile à tous. Merci mesdames, continuez à conquérir « la moitié du ciel », comme disait l’autre, et à nous réjouir l’esprit.

Non lieu pour la Femen tunisienne Amina, toujours en détention
29 juillet 2013 à 12:16
La Femen tunisienne Amina Sboui à la sortie du tribunal, le 22 juillet à Tunis.
La Femen tunisienne Amina Sboui à la sortie du tribunal, le 22 juillet à Tunis. (Photo AFP)

La militante, emprisonnée pour une action féministe, était cette fois poursuivie pour outrages envers des gardiens.
Par AFP

La justice tunisienne a prononcé lundi un non-lieu pour la Femen Amina Sbouï pour des faits d’outrages envers des gardiennes de prison, mais elle reste en détention pour avoir inscrit le mot Femen sur le mur d’un cimetière, selon son avocat.

«Le tribunal a décidé un non-lieu pour Amina, c’est une victoire, la justice a commencé à comprendre qu’elle est injustement poursuivie», a déclaré à l’AFP son avocat Ghazi Mrabet ajoutant qu’elle restait cependant détenue en attendant une éventuelle inculpation pour «profanation de sépulture et atteinte aux bonnes mœurs». «Je suis contente de cette décision rassurante pour la suite, j’ai repris confiance en la justice», a déclaré ensuite à l’AFP, la mère d’Amina.

Amina, qui a fait scandale pour une action seins nus en mars à la manière des militantes du mouvement Femen, a été jugée le 22 juillet par le tribunal de M’saken (150 km de Tunis) à la suite d’une plainte déposée par des gardiennes de prison à son encontre et une autre détenue.

La défense a demandé l’acquittement et l’annulation des poursuites pour «graves vices de procédure» dans cette «affaire montée» à la suite des révélations faites par Amina et relayées par son avocate Radia Nasraoui sur des cas de torture et de mauvais traitements à l’égard de prisonnières.

Amina a été arrêtée le 19 mai pour avoir peint le mot «FEMEN» sur le muret d’un cimetière à Kairouan (centre). Condamnée alors au versement d’une amende pour possession illégale d’aérosol d’autodéfense, elle avait été maintenue en détention le temps que la justice décide d’une éventuelle inculpation pour profanation de sépulture.

Amina Sboui abandonne les Femen "islamophobes", mais pas le féminisme

Amina Sboui abandonne les Femen "islamophobes", mais pas le féminisme

La militante tunisienne Amina Sboui, libérée début août après deux mois et demi de prison, a annoncé ce mardi quitter les Femen. La jeune femme de 19 ans ne veut pas être associée à "une organisation islamophobe" et dont le système de financement est opaque.

La publication de sa photo seins nus sur Facebook a fait d'elle une icône de la cause féministe sur la toile, mais lui a valu des menaces de la mouvance salafiste. Amina Sboui, jeune Tunisienne, a été arrêtée à Kairouan le 19 mai dernier, après avoir peint le mot "Femen" sur le muret d'un cimetière. Elle est alors maintenue en détention pour "profanation de sépulture et atteinte aux bonnes mœurs". Plusieurs actions du mouvement féministe se succèdent ensuite pour dénoncer l'arrestation. Le 29 mai, trois militantes, deux Françaises et une Allemande, manifestent seins nus devant le palais de Justice de Tunis. Elles sont alors condamnées à quatre mois avec sursis. Elles quitteront finalement la Tunisie après un mois de détention. Le 1er août, Amina Sboui sort à son tour de prison.


Après de nombreuses manifestations médiatisées, la militante annonce aujourd'hui quitter définitivement les Femen qu'elle juge islamophobes. "Je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe. Je n'ai pas apprécié l'action où les filles criaient "Amina Akbar, Femen Akbar" devant l'ambassade de Tunisie en France, ou quand elles ont brûlé le drapeau du Tawhid devant la mosquée de Paris... il faut respecter la religion de chacun" déclare la jeune femme dans une interview accordée au Al Huffington Post, version maghrébine du Huffington Post. La militante évoque ici deux actions menées alors qu'elle était en détention en Tunisie. Le tweet d'Inna Shevchenko, la leader des FEMEN, publié en juillet dernier, a sûrement poussé la jeune Amina à prendre cette décision : "qu'est-ce qui peut être plus stupide que le Ramadan ? Qu'est-ce que qui est plus moche que cette religion ?"

Amina Sboui remercie néanmoins les manifestations de soutien des militantes, mais regrette certains rassemblements. "Il y a eu de bonnes actions, mais pas toutes. Elles auraient dû se renseigner auprès de mes avocats... cela a aggravé mon cas. Un autre chef d'inculpation, "association de malfaiteurs", a été émis à mon encontre alors que j'étais en prison" précise-t-elle. La jeune femme dénonce également un financement opaque. "Je ne connais pas les sources de financement du mouvement. Je l'ai demandé à plusieurs reprises à Inna, mais je n'ai pas eu de réponses claires".

Inna Shevchenko, qui n'était pas au courant de cette décision, n'a pas du tout apprécié les critiques d'Amina. La leader du mouvement féministe a d'ailleurs réagi sur Twitter en dénonçant une trahison.

Antisexisme a écrit:En plus, chez certains hommes un peu gros, leur poitrine ressemble exactement à celle d'une femme. Mais là, d'un coup, c'est montrable !